Sous couvert de discours modernistes, ce sont bien des reculs sociaux majeurs que prépare le gouvernement : réduction des capacités d’action de la Fonction publique, atteinte au statut des fonctionnaires, remise en cause des instances de dialogue social, dégradation des conditions de rémunération et de travail des personnels …

Parce que rien n’est joué, il est indispensable de nous faire entendre le 22 mai prochain. C’est la meilleure façon de faire entendre nos revendications notamment pour obtenir une meilleure reconnaissance de notre travail et de nos qualifications lors du rendez-vous salarial qui se tiendra à la mi-juin.

Nous porterons aussi la nécessité de renforcer le service public d’éducation pour qu’il assure la réussite de tous les élèves.

Alors, dans une unité syndicale exemplaire, le 22 mai on se manifeste !