La FSU est en désaccord avec l’accord national interprofessionnel. Elle s’adresse aujourd’hui au Ministre du travail ainsi qu’aux groupes parlementaires pour leur demander de ne pas retranscrire cet accord dans la loi.
A un moment ou les salarié(e)s ont besoin de garanties, cet accord, par la remise en cause du Code du Travail,entérine un recul des droits.
La FSU, refusant l’austérité et la flexibilité, appelle, avec la CGT, FO et Solidaires, à participer à la journée d’action du 5 mars afin d’obtenir et gagner des droits sociaux.
Il s’agit de construire une première mobilisation pour recréer l’espoir d’une véritable ambition sociale.
Le gouvernement doit tout mettre en oeuvre pour permettre la relance économique, résorber le chômage, améliorer la situation des salariés et contribuer à résorber l’emploi précaire particulièrement dans la Fonction publique.