La FSU a déjà exprimé son désaccord avec l’accord national interprofessionnel notamment lors de la journée d’action du 5 mars dernier. Elle s’est adressée au Ministre du travail ainsi qu’aux groupes parlementaires pour leur demander de ne pas retranscrire cet accord dans la loi.
A un moment où les salarié(e)s ont besoin de garanties, cet accord, par la remise en cause du Code du Travail, entérine un recul des droits.
La FSU soutient à nouveau, avec toutes les organisations qui refusent cette nouvelle flexibilité, la journée d’action du 9 avril et appelle à participer aux manifestations qui seront organisées afin d’obtenir et gagner des droits sociaux.
Alors que le chômage poursuit sa progression, le gouvernement doit tout mettre en œuvre pour permettre la relance économique, résorber le chômage, améliorer la situation des salariés et contribuer à résorber l’emploi précaire particulièrement dans la Fonction publique.