Le gouvernement persiste et signe une baisse drastique des crédits sociaux interministériels au PLF 2014.
La réduction, d’environ 9 % en projet de loi de finances, se traduirait par une baisse de 19 M € avec les mises en réserves ultérieures, soit plus de 14 % de baisse du budget de l’action sociale des agents de l’État, ce qui va entraîner de fortes répercussions sur l’offre de prestations sociales aux agents.
Les mesures prises sont inconcevables et inacceptables : c’est la première fois qu’un gouvernement s’attaque directement aux conditions de vie des agents de l’État en supprimant à 100 000 d’entre eux la possibilité d’obtenir des prestations d’action sociale (1ère tranche de CESU garde d’enfants et AIP).