Pour répondre à la situation de crise mais aussi aux différents défis de ce début de siècle, il nous faudra changer de cap. Des réponses apportées aux questions posées, dépendra l’évolution de notre société. Comment relancer l’économie dans un cadre d’éco développement ? Comment permettre au système éducatif de faire face à l’échec scolaire ? Comment permettre aux services publics de remplir tout leur rôle ? Comment rendre effectif le partage des richesses ? Etc.
Le mouvement syndical joue un rôle important dans cette période en imposant ces débats que d’aucun aurait aimé éviter. Tout comme ceux de l’emploi, du pouvoir d’achat et de la protection sociale qui restent au cœur des préoccupations des salariés.
La FSU a pris toutes ses responsabilités en s’exprimant durant cette période électorale pour porter ses propositions. Elle a aussi continué d’agir.
Le premier mai est le prochain rendez-vous social majeur. Nous le souhaitons unitaire et offensif. Journée de solidarité internationale, il doit être aussi une journée forte de revendications sociales pour tous les salariés, jeunes, chômeurs et retraités.
Une journée d’exigence et d’espoir pour plus de solidarité, d’égalité et de justice sociale.