La FSU dénonce l’absence d’un ministère dédié, et même d’un secrétariat d’État, chargé des retraité-es et personnes âgées.
Au total un quart de la population dont 16 millions de retraité.e.s est ignoré. La FSU demande au gouvernement qui prendra en charge ces questions et selon quelles intentions ?
Le vieillissement de la population impose aujourd’hui de s’interroger sur la place de ces millions de citoyen-ne-s dans la société. Il impose aussi de réfléchir sous un angle nouveau au défi posé par la plus grande longévité en termes d’aménagement du territoire, de services publics de proximité, de santé, de logement, de pension et pouvoir d’achat, de fiscalité, de lien intergénérationnel, de grand âge et de la perte d’autonomie…
Les retraité-es ne peuvent pas être considéré-es que lorsqu’il est question d’ augmenter le point de CSG sans contrepartie (à la hauteur de 1,7 ce qui constituerait une perte de 24 € pour 1 300 euros de pension par mois), ou pour envisager de poursuivre le gel des pensions.
Pour la FSU, reconnaître la place des retraité.e.s et personnes âgées nécessite de créer les conditions institutionnelles de dialogue.