Education, Santé, Justice,… autant de mobilisations qui ont marqué ces dernières semaines le paysage social. Les convergences des revendications sont évidentes : avoir les moyens de répondre aux besoins et aspirations de notre société pour davantage d’égalité entre les usagers et les territoires.
Ce sont aussi les conditions de travail et ce sentiment de ne pas pouvoir remplir bien les missions qui sont au cœur des préoccupations.
C’est le sens de la journée mondiale de l’OIT du 28 avril, à laquelle la FSU appelle, avec d’autres organisations syndicales, pour la sécurité et la santé au travail, la prévention et l’amélioration des conditions de travail, la reconnaissance et la réparation de la pénibilité. RGPP, restructurations de service, suppressions de personnels… il est temps de prendre la mesure des conséquences de cette politique pour les personnels comme pour les usagers.
Les nombreux témoignages recueillis dans notre campagne « le service public on l’aime on le défend ! » en témoignent.
D’autres rendez-vous d’actions seront évidemment nécessaires et la FSU s’emploie à les construire.
Faisons d’ores et déjà du 1er mai prochain une grande journée de solidarité internationale et de mobilisation pour davantage de progrès social !