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Audience DROM au Ministère de l’Éducation Nationale

2020-02-18T11:48:45+01:0011 février 2020|Catégories : Communiqués|

La FSU a été reçue lundi 10 février 2020 au Ministère de l’Éducation nationale, à sa demande, afin d’exposer la situation des DROM sur deux sujets d’actualité : la réforme des retraites et les moyens alloués pour la rentrée scolaire. Depuis le 5 décembre dernier, les collègues sont fortement mobilisé.es pour exiger le retrait du projet de texte sur les retraites. L’annonce le 10 décembre des dotations négatives, moins 72 postes pour la Guadeloupe et moins 76 pour la Martinique, a rajouté à la colère des manifestant.es et s’est traduite par le blocage de tous les établissements à compter du 9 janvier. Suite aux annonces du ministère indiquant la suspension des suppressions de postes ainsi que l’envoi d’une mission de l’inspection générale en Guadeloupe pour le moment, la FSU Guadeloupe a appelé à d’autres modalités d’actions que les blocages des établissements. En Martinique, sans réponse du ministère, le mouvement est toujours aussi déterminé. Lors de l’audience, la FSU a alerté sur une situation explosive dans tous les territoires ultramarins, rappelant l’exigence de maintien du niveau des pensions pour les agent.es mais également de moyens nécessaires, pour faire face à la réalité du terrain, avec une véritable prise en compte de la situation : taux de pauvreté, de chômage - des jeunes en particulier - d’illettrisme, de décrochage scolaire, des indicateurs de position sociale … Tous ces indicateurs nécessitent de revoir en urgence la carte de l’Éducation prioritaire ou encore celle de la ruralité. Afin que la mission des inspecteurs généraux missionnés
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Communiqué Éducation nationale : Sortir du déni

2020-01-24T20:54:53+01:0023 janvier 2020|Catégories : Communiqués|

La FSU a quitté le Conseil supérieur de l'Éducation de ce jour, jeudi 23 janvier 2020. Alors que se prépare la rentrée 2020 dans un contexte de pénurie de moyens, alors qu'une mobilisation importante est en cours dans les lycées contre les difficultés de fond et de forme posées par les E3C, les réformes des lycées et du baccalauréat, le ministère répond en CSE à la communauté éducative que tout se passe techniquement bien et que les problèmes proviennent principalement de personnels outrepassant le droit de grève. Il faut que le déni de réalité cesse. La FSU appelle à la reprise d'un dialogue à l'écoute de la communauté éducative, des personnels et des organisations syndicales. Les Lilas, le 23 janvier 2020

Éducation : Toutes et tous en grève vendredi 24 janvier !

2020-01-24T20:28:17+01:0020 janvier 2020|Catégories : Communiqués|

Le ministre de l’Éducation nationale a reçu les organisations syndicales pour leur présenter le cadre de ce que le ministère appelle la concertation avec les organisations syndicales sur la réforme des retraites. Si la FSU s’y est rendue, c’est parce que la revalorisation des enseignant-es, mais aussi celle de tout-es les personnels de l’éducation nationale et de tout-es les personnels de la Fonction publique, fait partie de ses priorités et parce qu’elle dissocie clairement cette question de la création d’un régime universel de retraite. Elle ne discute pas d’une compensation aux effets d’une réforme qu’elle rejette mais de la reconnaissance à sa juste valeur de l’engagement des personnels, et cela sans contreparties. Elle exige, sur cette base, l’ouverture de discussions globales dans l’ensemble de la Fonction publique : agents administratifs, personnels sociaux et de santé de l’Éducation nationale et des autres ministères, agents territoriaux, hospitaliers, etc, n’ont-ils pas, elles et eux aussi, des salaires très souvent insuffisants, des missions qui se sont alourdies sans aucune reconnaissance salariale ? Plus que jamais, la mobilisation doit donc continuer dans le cadre interprofessionnel, pour que la revalorisation soit immédiate, ambitieuse et concerne l’ensemble des fonctionnaires, pour que le projet de réforme des retraites soit retiré. Aujourd’hui, le ministre annonce 500 millions d’euros supplémentaires pour augmenter les rémunérations des enseignant-es en 2021 qui permettraient d’augmenter les collègues en début de carrière de 70 à 90 euros nets. Devant le manque d’attractivité du métier et la faiblesse des salaires en début de carrière (1,2 SMIC), ce
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Le ministère de l’Éducation nationale contraint de reconnaître l’ampleur des dégâts de la réforme des retraites

2019-12-19T20:39:13+01:0016 décembre 2019|Catégories : Communiqués|

La FSU a été reçue aujourd'hui en audience par le Ministre de l'Éducation nationale. Jean-Michel Blanquer a confirmé que les grands éléments du projet de réforme des retraites étaient maintenus et continue à dire que des compensations pour les rémunérations des enseignant.es seront faites. La revalorisation éventuelle est donc toujours conçue comme une contrepartie de la baisse des pensions. Aucune réponse n'a été faite sur les générations 1960 et suivantes qui seraient touchées dès 2022 par un âge d'équilibre (64 ans en 2027). Les compensations seraient prioritairement tournées vers les générations 1975 et suivantes. La référence à une loi de programmation pluri-annuelle (censée s'étaler jusqu'à 2037) serait incluse dans le projet de loi retraites et des premiers éléments de revalorisation sont annoncés dès le 1° janvier 2021. Mais le budget consacré à cette loi de programmation reste flou, le Ministre disant " Je ne sais pas si c'est 8, 9 et demi ou 11 milliards sur 15 à 20 ans". Concernant le fait de lier la revalorisation à des tâches supplémentaires, le Ministre a été évasif, nous donnant acte que les missions sont déjà très lourdes, et a ouvert la possibilité de revaloriser les indemnités existantes. La FSU rappelle que depuis le début de l'entrée en fonction du gouvernement, elle a porté la nécessité d'une revalorisation de l'ensemble des personnels, dans l’Éducation nationale comme dans l'ensemble de la Fonction publique. Les femmes ont actuellement des taux de primes largement inférieur à ceux des hommes ; elles subiraient donc de plein
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Salaires à l’Education Nationale, ce que revendique la FSU

2021-02-18T14:50:56+01:0013 novembre 2019|Catégories : Expression de la FSU pour l'Education|Mots-clés : |

Le ministre a annoncé son intention d’ouvrir des discussions avec les organisations syndicales sur le sujet des rémunérations des personnels en lien avec la réforme des retraites. La FSU est demandeuse de ces discussions car la revalorisation salariale revêt un caractère d’urgence dans un contexte marqué par un allongement du calendrier d’application des mesures de carrières de PPCR et par dix années de gel de la valeur du point d’indice. Elle y portera donc ses propositions tout en refusant de la lier cette question à la perspective d’une réforme des retraites. L’urgence ne saurait d’ailleurs attendre 2025. Et le sujet des rémunérations ouvre des questions plus larges que celles soulevées par la réforme des retraites telle qu’envisagée par le gouvernement. Si la FSU acte positivement l’ouverture de discussions à l’Education Nationale même si pour l’heure elles se bornent à faire un constat partagé et que les propositions sembleraient se destiner au « travailler plus pour gagner plus » elle continue de demander des mesures Fonction publique, à commencer par le dégel de la valeur du point d’indice et un plan de rattrapage de celle-ci au regard du pouvoir d’achat perdu. La FSU demande que dans les discussions qui vont s’ouvrir à l’Education Nationale, ce soit le levier de la revalorisation des carrières qui soit l’entrée principale. La FSU demande en particulier pour les corps enseignants et assimilés : Une accélération des débuts de carrière (par exemple commencer la carrière à l’actuel 4ème échelon) ; Un aménagement des fins de carrières avec allègement du
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Éducation prioritaire : besoin d’ambition !

2019-11-28T22:44:20+01:007 novembre 2019|Catégories : Communiqués|

Lors du colloque du 2 octobre dernier qu’elle avait consacré à l’Éducation prioritaire, la FSU avait exprimé son inquiétude de voir disparaître la labellisation nationale des REP pour une gestion décentralisée confiée aux recteurs, que confirme la parution du rapport Mathiot-Azéma, ne portant aucunement l'objectif de la nécessaire démocratisation de la réussite des élèves. Pour les personnels, dans un contexte où les conditions de travail ne cessent de se dégrader, cette perspective se traduirait par une remise en cause des indemnités et des priorités de mutation qui ne peut être acceptable. À terme, ceci entraînerait une diminution des moyens qui pèserait sur les conditions d'enseignement pour les élèves qui en ont le plus besoin. L’évaluation de l’Éducation prioritaire ne peut se résumer à la mise en avant d’une réussite insuffisante et de risques de stigmatisation. Elle doit reconnaître les effets positifs des actions menées et chercher à les conforter et les améliorer par des moyens en adéquation aux besoins réels, notamment sur le plan de la formation des enseignants. La dégradation de la situation sociale dans bien des quartiers de l’Éducation prioritaire demanderait que les moyens, pour toutes les écoles et établissements concernés y compris les lycées accueillant ces élèves, soient renforcés plutôt que fragilisés. Ce n’est pas ce que semble dessiner la présentation du rapport Mathiot-Azéma faite par le Ministre de l’Éducation nationale. Pour la FSU, la politique d'Éducation prioritaire doit rester cadrée nationalement, les moyens doivent être attribués sur des critères transparents afin de garantir l'égalité. La
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Respect inconditionnel du droit à l’éducation pour les mineurs étrangers    

2019-11-01T12:39:43+01:0027 octobre 2019|Catégories : Communiqués|

Par un arrêt du 14 mai 2019, la cour administrative d'appel de Paris a confirmé l'illégalité d'un refus de scolarisation des mineurs de plus de 16 ans. Malgré l'affirmation claire de leur droit à l'éducation tant dans les conventions internationales que dans le code de l'éducation, les mineurs isolés étrangers continuent à rencontrer des difficultés et des refus pour poursuivre leurs études au-delà de 16 ans. Parfois ils doivent supporter des délais inacceptables qui diffèrent leur scolarisation de plusieurs mois, parfois l'argument d'un manque de place leur est illégalement opposé, parfois ils sont violemment exclus au prétexte fallacieux de la fin de leur obligation scolaire. Nos organisations syndicales et associations condamnent toute forme de déni du droit à l'éducation et demandent son respect inconditionnel. Les Lilas, le 18 octobre 2019

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