La FSU avait apporté son soutien aux salarié·es de la fonderie de la SAM engagé·es dans une lutte sans relâche et exemplaire pour sauver leurs emplois et leur usine. La fermeture de leur outil de travail, sans considération pour les salarié·es, est la marque d’un modèle libéral destructeur qui, au nom de la seule recherche de toujours plus de profit, met à mal des pans entiers de territoires participant ainsi à leurs désertifications.
Aujourd’hui, les ex-salarié·es demandent la reconnaissance du grave préjudice subi, du fait de la fermeture de leur entreprise mais aussi de l’absence de volontarisme, notamment autour d’un projet de reprise qui aurait offert des perspectives aux salarié·es.
C’est pourquoi, la FSU continue d’exprimer sa solidarité à tout·es les ex salarié·es de la SAM qui seront présent·es en audience au Conseil des Prud’hommes de Rodez les 9 et 12 février 2024 pour venir réclamer réparation devant la justice, suite à leur licenciement et la fermeture de leur entreprise de Viviez.
Bagnolet, le 19 janvier 2024