Questions d’économie

http://www.lesechos.fr
Le gouvernement ne le crie pas sur les toits, car le sujet est sensible aux oreilles des syndicats. Il a pourtant fait beaucoup mieux que prévu en matière de suppression de postes d’agents de l’Etat en 2008. La loi de Finances avait fixé un plafond d’emplois imposant une diminution des effectifs d’au moins 22.920 équivalent temps-plein. L’exercice se solde finalement par une baisse d’« environ 28.000 », a indiqué hier le ministre du Budget, Eric Woerth.

http://www.lefigaro.fr
L’Etat a supprimé plus de postes de fonctionnaires que prévu l’an dernier. Eric Woerth, le ministre du Budget et des comptes publics a annoncé ce matin en conseil de ministres que l’an dernier, les effectifs de la fonction publique s’étaient réduits de 28 000 postes (en équivalent temps plein). C’est 5300 de plus que prévu initialement dans le budget 2008.

http://www.leparisien.fr
La révolution de la rémunération au mérite dans la fonction publique, souhaitée par Nicolas Sarkozy, est en marche. Les négociations débutent aujourd’hui sur la mise en oeuvre d’un système d’intéressement dans la fonction publique. C’est ce qu’annonce Eric Woerth, ministre du Budget et de la Fonction publique, qui reçoit cet après-midi quatre fédérations (Unsa, CGC, CFDT, CFTC) pour en discuter.

http://www.lefigaro.fr
La Cour des comptes a certifié les comptes de l’État pour 2008, en émettant douze réserves. Dans son rapport, elle présente une nouvelle estimation de l’engagement de l’État en matière de pensions de retraite des fonctionnaires d’ici 2050.

http://www.lemonde.fr
La situation de l’emploi continue de se dégrader, comme en témoigne l’annonce, mardi 26 mai, de près de 2 000 suppressions d’emplois, à Goodyear-Dunlop (Amiens), Altis Semiconductor (Corbeil-Essonnes), EDA (sur plusieurs sites en France). En tablant sur un recul de 3 % du produit intérieur brut (PIB), l’Unedic prévoit 639 000 chômeurs supplémentaires pour l’année 2009, dont 411 000 seraient indemnisés. Quelque 591 000 emplois du secteur privé seraient détruits dans le champ couvert par le régime d’assurance-chômage.

Violence

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http://www.lemonde.fr
Le ministre de l’éducation, Xavier Darcos, a reçu, mercredi 27 mai, les représentants des chefs d’établissement, des parents d’élèves et les représentants des collectivités locales pour trouver des solutions à la violence en milieu scolaire. Cette réunion ayant révélé des divergences persistantes, des pistes vont être soumises, jeudi, à Nicolas Sarkozy, qui tranchera sur la question.

http://www.lefigaro.fr
Après plusieurs faits divers marquants ces derniers jours, le ministre de l’Éducation nationale, Xavier Darcos, a confirmé sa volonté de mettre en place un plan anti-violence à l’école dès septembre. Il recevait hier les représentants des chefs d’établissement et des parents d’élèves, ainsi que des associations d’élus pour trouver des pistes de travail avant de les soumettre à Nicolas Sarkozy, qui tranchera aujourd’hui.

http://www.rue89.com
Depuis deux mois, Xavier Darcos multiplie les prises de positions sur la sanctuarisation de l’école face à la violence. Avant lui, François Bayrou, avait déjà enfourché ce cheval. En 1996, amorçant vidéosurveillance et portiques de sécurité contre la violence scolaire, le ministre de l’Education d’alors affirmait vigoureusement sa volonté de « refaire de l’école un sanctuaire ».

http://www.lefigaro.fr
À Versailles, les «brigades» de lutte contre la violence scolaire évoquées par le ministre de l’Éducation nationale, Xavier Darcos, sont déjà une réalité. Depuis sept ans, une unité de 14 personnes œuvre en effet à la sécurité des quelque 600 collèges ou lycées de l’académie. Composé de professionnels de l’éducation – psychologues, enseignants et CPE (conseillers principaux d’éducation) – ce «centre académique d’aide aux écoles et aux établissements» ne compte pas de policiers ou de gendarmes dans ses rangs.

http://www.rue89.com
Portiques au cas par cas, fouille des élèves, « police des écoles »… Xavier Darcos rencontrait ce mercredi 27 mai représentants des chefs d’établissement et parents d’élèves, à qui il a confirmé le gros des mesures annoncées ces dernières semaines au gré des faits divers qui se sont produits en milieu scolaire. Bernard Girard, enseignant à Laval et intervenant régulier de Rue89, poursuit son décryptage de ce train de mesures anti-violence.

http://www.20minutes.fr
Xavier Darcos veut «dissuader, former et responsabiliser» face au «phénomène préoccupant» des armes à l’école, mais c’est l’Elysée qui tranchera. Alors que le ministre de l’Education a réuni ce mercredi matin des représentants des chefs d’établissement, des parents d’élèves et des collectivités territoriales pour évoquer cette question, des pistes vont être soumises jeudi à Nicolas Sarkozy qui devra trancher jeudi, à l’issue d’une réunion plus générale sur la sécurité à l’Elysée.

http://www.humanite.fr
Portiques de détection d’armes, chefs d’établissement transformés en policiers : le ministre Xavier Darcos a résumé mercredi les propositions qu’il fera jeudi au chef de l’Etat, réactivant à 12 jours de l’élection européenne la thématique sécuritaire qui avait réussi à Sarkozy en 2007. Pourtant, dans le collège de Fenouillet (Haute-Garonne) où l’agression d’une enseignante est à l’origine des mesures, on réclame tout autre chose… Reportage.

Droits et libertés

http://www.lemonde.fr
Julien Coupat, 34 ans, présenté comme le chef d’un groupe soupçonné d’avoir saboté des lignes TGV à l’automne 2008, pourrait sortir de prison jeudi 28 mai après plus de six mois de détention, le parquet ne s’opposant plus à sa remise en liberté.

http://www.liberation.fr
Après six mois de détention provisoire, Julien Coupat sera peut-être libéré dans les heures qui viennent, selon une source proche de l’enquête sur l’affaire de Tarnac. Le parquet de Paris ne s’oppose plus, en effet, à une remise en liberté de celui qui était présenté par les enquêteurs comme le chef d’un groupe soupçonné d’avoir saboté des lignes TGV à l’automne 2008.

Crise

http://www.liberation.fr
Si les discussions «n’aboutissaient pas, les actionnaires se disent prêts à financer un plan de continuation», mais cela impliquerait des suppressions parmi les 125 emplois.

http://www.liberation.fr
Cela faisait déjà plusieurs semaines que les professionnels du secteur automobile et le monde de la finance ne se faisaient plus guère d’illusions concernant son avenir. Un mois tout juste après Chrysler, c’est donc au tour du géant automobile américain General Motors (GM), de se préparer au dépôt de bilan, ce qui constituerait la troisième plus grosse faillite depuis le début de la crise aux Etats-Unis, après les banques Lehman Brothers et Washington Mutual, en septembre 2008.

http://www.lesechos.fr
Un train, ça ne peut pas réduire la voilure par définition. C’est pourtant exactement ce que va faire la SNCF dans les mois qui viennent pour répondre à la crise qui la frappe durement. La compagnie ferroviaire a en effet adopté hier, lors de son conseil d’administration, un plan d’économies qui n’en porte toutefois pas le nom, pour ne pas trop effrayer les syndicats.