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Le 8 mars, mobilisons-nous pour l’égalité salariale

2024-02-17T19:45:49+01:0017 février 2024|Catégories : Egalité femmes-hommes|

Le 8 mars, journée internationale pour les droits des femmes, partout dans le monde les femmes se mobilisent pour faire progresser leurs droits et les rendre effectifs. Solidarité internationale À l’échelle internationale, les conflits armés, toujours plus dévastateurs pour les femmes et les filles, s’amplifient. La FSU soutient les femmes et les peuples qui se soulèvent pour vivre en paix, dans des sociétés justes, démocratiques, égalitaires et qui luttent contre les régimes autoritaires pour leur liberté et leurs droits fondamentaux. Pour le droit à disposer librement de nos corps La FSU, dans le cadre du collectif « Avortement en Europe, les femmes décident », revendique une inscription dans la Constitution du droit à l’interruption volontaire de grossesse qui soit réellement protectrice et des moyens suffisants pour rendre ce droit effectif partout sur le territoire. Contre les violences sexistes et sexuelles (VSS) Les VSS, le sexisme et le nombre de féminicides ne reculent pas ! Il y a urgence à mettre en œuvre une politique publique ambitieuse et à s’attaquer aux racines des violences de genre : par la promotion de l’éducation à l’égalité et à la sexualité, par une loi cadre, par la fin de l’immunité des agresseurs et par un dispositif d’écoute et de veille efficace et financé dans les ministères. Le gouvernement doit y consacrer 3 milliards d’euros. Pour l’égalité ici et maintenant En France, les inégalités professionnelles persistent : les salaires sont 25 % inférieurs en moyenne pour les femmes et les pensions plus faibles de
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Appel intersyndical – 8 mars, journée internationale des droits des femmes Exigeons l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes !

2024-02-14T08:16:39+01:0014 février 2024|Catégories : Egalité femmes-hommes|

Alors que le rapport du Haut Conseil à l’Egalité (HCE) sur le sexisme alerte sur un risque de régression des droits des femmes, ce 8 mars 2024 doit être l’occasion de rappeler que l’égalité entre les femmes et les hommes est un principe constitutionnel qui doit se concrétiser, dans la vie de tous les jours et dans le monde du travail. Malgré la grande cause nationale du quinquennat pour l’égalité femmes-hommes, nos organisations constatent l’absence d’avancées concrètes que ce soit en matière de rémunération, d’articulation des temps de vie ou de violences sexistes et sexuelles dans le monde du travail. De fait, les conditions de vie et de travail des femmes restent trop souvent l’impensé des politiques publiques et des stratégies RH des employeurs. Des inégalités au travail qui perdurent. « Tout employeur est tenu d’assurer, pour un même travail ou un travail de valeur égale, l’égalité de rémunération entre les femmes et les hommes » Cette loi française de décembre 1972, et celles qui ont suivi, ne sont toujours pas pleinement respectées et n’ont toujours pas permis d’atteindre l’égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes. En 2024, l’écart moyen est encore de 24% dans le secteur privé et de 14% dans les fonctions publiques. Plus diplômées que les hommes, elles sont pourtant moins nombreuses sur les postes cadres (39 % dans le privé, 43 % A+ FP) Concentrées dans des métiers dits « féminins » (55 % des emplois à bas salaires du secteur privé), leurs
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Lettre ouverte au gouvernement : Mayotte ne peut plus attendre !

2024-02-11T12:11:11+01:0011 février 2024|Catégories : Appels & Pétitions, Communiqués, Education / recherche|

De : Fédération syndicale unitaire A : M. Gabriel Attal, premier ministre et Mme Nicole Belloubet, ministre de l’Education nationale et de la jeunesse   Objet : situation à Mayotte A Bagnolet, le 11 février 2024   Monsieur le Premier ministre, Madame la ministre de l’Education nationale,   Mayotte est une nouvelle fois plongée dans la crise dans l’indifférence du gouvernement. Après la crise de l’eau à l’automne, c’est une nouvelle flambée de violence qui touche l’île. La situation est chaotique : des barrages ont été érigés par des collectifs de citoyens pour dénoncer l’insécurité qui mine le quotidien des habitants et le dialogue a été rompu avec le préfet. Des barrages sauvages sont aussi montés par des bandes qui profitent de la situation pour poursuivre leurs actes violents contre les biens et les personnes : agression contre des maisons ou des bâtiments publics (maire de Koungou par exemple), en y mettant parfois le feu. Il y a quelques semaines, la ville de Sada a été assiégée pendant toute la nuit par des gangs. Aujourd’hui, l’île est quasiment à l’arrêt, dans une situation de quasi confinement. A l’insécurité physique s’ajoutent les risques sanitaires : accès impossibles aux hôpitaux, ruptures d’approvisionnement en médicaments, amoncellement des ordures. Les magasins se vident et la pénurie guette. Une nouvelle fois, l’’Etat failli à sa mission de protéger la population. La FSU dénonce l’absence de ministre des outre-mer pendant 4 semaines, signe d’un mépris gouvernemental pour ces questions. Dans l’Education, les établissements scolaires subissent des tentatives d’intrusion par des groupes
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Communiqué de presse Nominations ministérielles : sans surprise !

2024-02-08T21:08:39+01:008 février 2024|Catégories : Communiqués, Fonction publique|

Les politiques de la santé, du logement, des transports ou encore de la fonction publique sont enfin attribuées dans ce gouvernement après un long mois d’atermoiements. L’ensemble du gouvernement maintenant connu continue à pencher dangereusement à droite, en particulier la nomination au ministère du logement de Guillaume Kasbarian qui a porté en tant que député une loi facilitant les expulsions locatives est un mauvais signal. La Fonction publique est attribuée de nouveau à Stanislas Guerini, avec une feuille de route rappelée dès la conférence de presse du Président de la République : mettre en œuvre une nouvelle étape de fragilisation du statut, favoriser un prétendu « mérite » pour refuser la revalorisation de toutes et tous pourtant nécessaire. Le calendrier de cette loi Fonction publique est desserré pour un passage au Parlement au deuxième semestre, la FSU est déterminée à mobiliser dans tous les cadres unitaires pour que la revalorisation du point d’indice et des mesures salariales et de carrière interviennent immédiatement, elle mobilisera pour cela les personnels dans le cadre de l’appel à la grève féministe le 8 mars et d’un appel à la grève dans toute la Fonction publique le 19 mars. Concernant l’Éducation Nationale, il aura fallu quatre semaines de déclarations dénigrantes, mensongères et polémiques d’Amélie Oudéa-Castera pour que le Président Macron accède à la demande de la FSU de nommer une autre interlocutrice et un.e ministre de plein exercice. Le temps perdu est à la hauteur du mépris pour un ministère au bord de la rupture.
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Mérite

2024-02-06T11:07:18+01:006 février 2024|Catégories : Tribunes|

Dans son programme présidentiel, Emmanuel Macron faisait d’une loi Fonction publique « permettant de mieux prendre en compte le mérite dans les rémunérations des agents » une priorité du tout début de son quinquennat. Il n’en fut rien, la forte contestation de la réforme des retraites lui fermant tout espace politique pour ouvrir un nouveau front social. Lors de son discours de politique générale, Gabriel Attal a encore repoussé les délais en annonçant que la discussion parlementaire aurait lieu non pas tout de suite mais au second semestre de 2024. Faut-il se réjouir de ce qui semble être une tergiversation ? Certes non, c’est même sans doute le révélateur que ce projet, comme beaucoup d’autres, a un rôle de communication, et que le gouvernement a bien l’intention de « feuilletonner » un discours sur cette réforme avant même de la mettre en place, de continuer à brandir la notion de mérite pour stigmatiser en creux des agentes qui ne seraient pas, en raison du statut, incité·es à travailler correctement aujourd’hui. Qui se penche sérieusement sur la question voit vite que toutes les mesures qui sont déjà allées dans le sens du prétendu « mérite » ont plutôt renforcé la concurrence entre collègues et entre services, au détriment de la qualité du service public que ces mesures étaient censées améliorer. Et qu’à l’inverse, le statut n’est pas le problème, il est la solution, garant d’égalité, d’indépendance des fonctionnaires, de qualité et de capacité d’adaptation du service public. L’augmentation des salaires de
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Appel intersyndical : Pour l’Ecole publique, un plan d’action dans la durée !

2024-02-05T14:15:30+01:005 février 2024|Catégories : Appels & Pétitions, Communiqués, Education / recherche|

La journée de grève du 1er février a été une réussite : à l’appel de nos organisations syndicales, des centaines de milliers de collègues se sont mis en grève, des écoles étaient fermées, la grève était majoritaire dans certains collèges et lycées. Les cortèges des manifestations étaient denses, preuve de la force de la mobilisation. Nos collègues ont clairement exprimé leur attachement à l’Ecole publique. Ils ont aussi dénoncé le mépris de la ministre de l’Education mais surtout l’orientation de la politique menée par l’exécutif : absence de revalorisation salariales, choc des savoirs qui symbolise une modèle d’Ecole passéiste et conservateur qui va à l’encontre de l’intérêt des élèves et des personnels. Cet ensemble de mesures est une redoutable remise en cause de la liberté professionnelle des enseignants et va poser les bases d’une École du tri social à l’image des groupes de niveau qui vont contribuer à assigner les élèves à leurs positions sociales et scolaires. mais aussi à exclure des classes les élèves en situation de handicap et les élèves allophones. Concernant la voie pro, nous demandons au ministère de l’Éducation nationale de reconsidérer la réforme, notamment sur la terminale, afin de construire des enseignements ambitieux pour les élèves. Nous sommes à un point de bascule pour l’Ecole publique. Cela appelle une réponse forte qui passe par une action dans la durée. Une journée de grève ne suffira pas pour gagner. Aussi, pour défendre l’Ecole publique, exiger l’ouverture de discussions immédiates sur les salaires ainsi que l’abandon des
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Pour l’École publique, un plan d’action dans la durée !

2024-02-05T09:16:35+01:005 février 2024|Catégories : Communiqués|

La journée de grève du 1er février a été une réussite : à l’appel de nos organisations syndicales, des centaines de milliers de collègues se sont mis en grève, des écoles étaient fermées, la grève était majoritaire dans certains collèges et lycées. Les cortèges des manifestations étaient denses, preuve de la force de la mobilisation. Nos collègues ont clairement exprimé leur attachement à l’Ecole publique. Ils ont aussi dénoncé le mépris de la ministre de l’Education mais surtout l’orientation de la politique menée par l’exécutif : absence de revalorisation salariales, choc des savoirs qui symbolise un modèle d’Ecole passéiste et conservateur qui va à l’encontre de l’intérêt des élèves et des personnels. Cet ensemble de mesures est une redoutable remise en cause de la liberté professionnelle des enseignants et va poser les bases d’une École du tri social à l’image des groupes de niveau qui vont contribuer à assigner les élèves à leurs positions sociales et scolaires, mais aussi à exclure des classes les élèves en situation de handicap et les élèves allophones. Concernant la voie pro, nous demandons au ministère de l’Éducation nationale de reconsidérer la réforme, notamment sur la terminale, afin de construire des enseignements ambitieux pour les élèves. Nous sommes à un point de bascule pour l’Ecole publique. Cela appelle une réponse forte qui passe par une action dans la durée. Une journée de grève ne suffira pas pour gagner. Aussi, pour défendre l’Ecole publique, exiger l’ouverture de discussions immédiates sur les salaires ainsi que l’abandon des
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Déclaration de la FSU au CSE du 31 janvier 2024

2024-01-31T11:06:16+01:0031 janvier 2024|Catégories : Education / recherche, Expression de la FSU pour l'Education, Les élu-es de la FSU à l'Education|

Madame la ministre, Mmes et MM. les membres du CSE,   En quelques jours, Madame la ministre, vous avez réussi à faire l’unanimité contre vous. Vous êtes devenue le symbole du mépris de classe du gouvernement en privilégiant l’entre-soi et le séparatisme social et scolaire.  Depuis la loi Debré de 1959, les établissements privés confessionnels sont financés aux trois quarts par des fonds publics. Ils respectent de moins en moins les programmes, la liberté de conscience des élèves et les valeurs de la République. Il n'est pas acceptable que l'argent public finance ces écoles du séparatisme social et scolaire. La FSU rappelle que les fonds publics ne doivent financer que les écoles et établissements publics. C’est le sens de l’appel que la FSU a cosigné avec, notamment,  la CGT, SUD, l’UNSA, le CNAL, la Ligue de l’Enseignement et des organisations de jeunesse et qui se termine ainsi : « Il est urgent que la République soutienne pleinement son école, la seule école de toute la jeunesse vivant dans ce pays. Ensemble nous nous tenons debout, afin de construire le rapport de force nécessaire pour réaliser partout les ambitions de l’école publique laïque. » Les choix budgétaires engagés de longue date et renforcés depuis 2017 ont mis à mal le système et dégradé les conditions d'enseignement et d'étude des élèves dans le réseau public. La FSU demande l’annulation des suppressions d'emplois à la rentrée 2024, l’abrogation du pacte et de véritables revalorisations pour les personnels. C’est aussi par la création d'emplois dans tous
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