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Compte rendu de la rencontre avec les représentant-es des 4 candidat-es à l’élection présidentielle à l’initiative de la FSU – 8 décembre 2021

2022-05-27T14:19:52+02:0016 décembre 2021|Catégories : Elections 2022 : les positions de la FSU|

La FSU a rencontré les représentant-es des candidat-es de : Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon et Fabien Roussel sur la question de la fonction publique et des services publics. Cet échange avec les candidat-es de la gauche et de l’écologie avait une double ambition, à fois de fond et de forme : mettre en débat les propositions sur la fonction publique et les services publics mais aussi échanger sur la meilleure manière que ces propositions soient portées. Bien entendu, la FSU rencontrera l’ensemble des candidat-es et fera valoir ses propositions sur l’ensemble des sujets. Mais il nous a semblé qu’à ce stade de la campagne, il était de notre responsabilité de mettre en débat nos propositions devant les forces qui peuvent être le plus en capacité d’en reprendre une partie, et de le faire dans un cadre multilatéral, permettant mieux de voir les convergences et les éventuels points de débat. La FSU a commencé par dire qu’elle souhaitait insister, car il lui semble que cela relève de sa responsabilité, sur quelques éléments de bilan négatif des mandatures précédentes : le gel de la valeur du point d’indice, la loi de transformation de la fonction publique et l’austérité budgétaire. Nous avons souhaité aussi interroger les candidat-es sur la décentralisation et les enjeux des services publics de proximité. Cela ne fait évidemment pas le tour de la question mais nous avons volontairement ciblé quelques questions. - Sur la loi TFP, nous avons insisté sur son extrême gravité tout en reconnaissant une
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COP 26, la FSU s’engage pour une prise en compte de l’impact environnemental des activités militaires et pour le désarmement.

2022-03-21T15:20:43+01:0024 novembre 2021|Catégories : Europe - International|

Alors que la COP 26 est sur le point de s'achever, la FSU rappelle qu'avec 213 autres signataires internationaux elle s'est engagée à cette occasion sur les questions liées au désarmement et à l'impact environnemental des activités militaires. Elle est signataire d'une pétition internationale, adressée aux gouvernements, exigeant que les activités militaires soient prises en compte dans les politiques visant à limiter le changement climatique. Un site d'analyses sur ce sujet est consultable (en anglais). https://militaryemissions.org/ Le gouvernement français, qui dirige l'armée la plus importante de l'UE, doit prendre en compte l'impact environnemental des activités militaires et de l'industrie de défense et délivrer des données transparentes et fiables à ce sujet. La réduction des émissions liées aux activités militaires ne peut passer que par un désarmement et une baisse des dépenses afférentes, qui doivent être réorientées vers les dépenses à effectuer pour la transition climatique et les services publics. International Amnesty International Green Cross International Greenpeace Human Rights Watch International Coalition To Ban Uranium Weapons International Fellowship of Reconciliation International Peace Bureau International Physicians for the Prevention of Nuclear War Socio-ecological Union International Soka Gakkai International Transnational Institute Women’s International League for Peace and Freedom World Beyond War Regional European Environmental Bureau (EU) European Organisation of Military Associations and Trade Unions (EUROMIL) (EU) Quaker Council for European Affairs (EU) National 11 maart beweging (BE) 2degrees Northampton (US) 350 Seattle (US) 350 Silicon Valley (US) 80000 Voices (UK) Abingdon Peace Group (UK) Acronym Institute for Disarmament Diplomacy
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Déclaration de la FSU au CSE du 18 novembre 2021

2021-11-19T09:20:12+01:0018 novembre 2021|Catégories : Concertations, Education / recherche, Les élu-es de la FSU à l'Education|

Déclaration de la FSU CSE du 18 novembre 2021   M. le directeur, M. le président, madame et monsieur les membres du conseil, La FSU s’est adressée hier au président de la République par lettre ouverte pour exprimer son indignation devant l'absence de réaction du ministre de l’Éducation nationale, face aux attaques orchestrées par certains médias contre l’École et ses enseignant-es. Après les propos de ce même ministre et ceux de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche accusant des universitaires ou des syndicalistes d’être « islamo-gauchistes », une nouvelle ligne rouge a été franchie. Ce climat de défiance et de stigmatisation doit cesser. Les enseignant-es  ne doivent pas être livré-es à la vindicte publique. La FSU condamne les graves mises en cause contenues dans le dossier du Figaro du 12 novembre. Elle ne peut pas laisser dire que les enseignant-es endoctrineraient leurs élèves alors qu'elles et ils font preuve d’un engagement sans faille au quotidien, pour leur réussite et leur émancipation dans le respect de la neutralité. Faut-il rappeler que la lutte contre le racisme, contre les stéréotypes de genres et les LGBTI phobies fait partie des missions assignées aux enseignant-es inscrites dans le code de l’éducation ? Que pensez de l’absence de réaction rapide du ministre de l’Éducation nationale face à ces attaques qui salissent publiquement toute une profession ? Sa réponse tardive lors des questions au gouvernement mercredi 17 novembre étonne avec des déclarations pour le moins ambiguës. N’est-ce pas son rôle de soutenir l’institution scolaire et
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CGT, FSU, Solidaires STOP aux violences sexistes et sexuelles !

2021-11-15T16:49:52+01:003 novembre 2021|Catégories : Communiqués|

En cette journée internationale de luttes contre les violences faites aux femmes, la CGT, FSU, Solidaires réaffirment leur soutien et leur solidarité à toutes les femmes et tous les peuples qui combattent les régimes autoritaires, réactionnaires et libéraux visant à toujours limiter les droits des femmes et organiser leur domination. Nos syndicats condamnent avec la plus grande fermeté les inactions des gouvernements contre ce fléau et le recours toujours impuni aux viols de femmes et de filles toujours utilisés comme arme de guerre dans les zones de conflit. Elles rappellent que l’accès à l’éducation, à la santé, à l’alimentation, au logement, au travail… sont des leviers incontournables d’émancipation. En France, le manque d’ambition politique et de moyens dédiés n’a pas permis de faire reculer les violences sexistes et sexuelles et laisse persister une situation inacceptable, celles des femmes victimes ... jusqu’à la mort. La sphère du travail, loin d’être épargnée, accuse toujours des constats accablants : 1 femmes sur 3 déclarent avoir été victime de harcèlement sexuel au travail et, selon les chiffres 2020 du ministère chargé de l’égalité, 30% des femmes ont déjà été harcelées ou agressées sur leur lieu de travail quand 9% ont subi un viol par quelqu’un de leur milieu professionnel. Nos organisations CGT, FSU et Solidaires exigent que le gouvernement français mette la loi en conformité avec les recommandations de la convention 190 de l’OIT qu’il a signé en juin dernier. Il doit doter la législation française de mesures et de moyens ambitieux pour prévenir,
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Les 20 et 25 novembre 2021 la FSU toujours engagée contre les violences faites aux femmes

2022-03-23T09:08:23+01:002 novembre 2021|Catégories : Communiqués, Événements|

En France, les violences faites aux femmes ont augmenté de façon significative à l'occasion des confinements successifs.  De nouvelles affaires de violences sexuelles éclatent chaque jour, révélant leur caractère massif et systémique : 94 féminicides ont déjà été commis depuis début janvier !  Engagée au quotidien pour les droits des femmes, la FSU se mobilise les 20 et 25 novembre contre les violences faites aux femmes.     Retrouvez tous les informations de mobilisation sur https://stop-sexisme-education.org/  

Nous n’avons pas de problèmes avec les valeurs de la République , le ministre en a-t-il avec les fonctionnaires ?

2021-11-15T16:49:57+01:0020 octobre 2021|Catégories : Communiqués|

Non, les suspicions et les propos menaçants du ministre à l’endroit des enseignant-es qui ne transmettraient pas les valeurs de la République ne sont pas recevables ! Ils sont même indignes de sa fonction ! Depuis des mois, le ministre de l’Éducation nationale s'invente des supposés ennemis de l'intérieur pour se construire une stature politique et un destin personnel. Comment un ministre de la République peut-il s'abaisser à de si basses manœuvres, en particulier en instrumentalisant une nouvelle fois la laïcité dont il fait un outil de division plutôt que de concorde ? Le piège est grossier, le tuyau bien connu et ne parviendra pas à masquer les échecs de sa politique éducative : Payer les AESH en dessous du seuil de pauvreté, est-ce digne des valeurs de la République ? Affaiblir le service public en supprimant des milliers de postes, est-ce digne des valeurs de la République ? Saccager pour la seconde fois la formation de celles et ceux dont la mission est de former des citoyennes et citoyens libres et éclairé-es, est-ce digne des valeurs de la République ? La FSU rappelle au ministre que c'est en reconnaissant aux fonctionnaires leur qualité de citoyen qu'on leur permet de faire vivre et de transmettre les valeurs de la République. La FSU exige que Jean-Michel Blanquer revienne publiquement sur ses propos insultants pour l’École et les personnels qui la font vivre. Les Lilas, le 20 octobre 2021

Un grave recul pour la formation des enseignants

2021-11-02T15:26:48+01:0014 octobre 2021|Catégories : Communiqués|

Le Ministère a présenté ce 13 octobre 2021 en Comité Technique Ministériel, la dernière pièce de sa réforme des concours et de la formation des enseignant-es et CPE. Elle concerne les modalités de la formation des lauréat-es de concours pendant leur année de fonctionnaire stagiaires. Malgré le vote en contre de toutes les organisations syndicales, le Ministre impose son projet à marche forcée. Ce texte place à temps plein devant les élèves tou-tes les fonctionnaires-stagiaires issu-es d’un master MEEF. Pour les lauréat-es titulaires d’un autre master, la situation actuelle est maintenue : ils et elles seront placé-es au 1er septembre en alternance, à mi-temps en formation, à mi-temps en responsabilité de classe. La réforme Blanquer des concours 2022 renoue donc en partie avec les pires aspects de la réforme de 2010, révélant le véritable bénéfice qu’en attend le Ministère : l’économie de milliers de postes.   Les nouveaux dispositifs de la réforme de la formation, que ce soit les contractuel-les alternant-es, les AED prépro ou les fonctionnaires stagiaires sont fondés sur l’idée fausse que le terrain serait en lui-même formateur. Ils visent surtout à utiliser les étudiant-es et les stagiaires comme des moyens d’enseignement d’éducation, et de psychologie aux dépens de la formation disciplinaire, didactique et pédagogique délivrée par l’université. Le ministère veut rendre les métiers de l’Éducation nationale attractifs mais les mesures apportées vont à l’inverse de l’effet recherché. Ainsi, il veut revaloriser l’entrée dans le métier mais il ne choisit pas d’augmenter les salaires mais plutôt de créer une indemnité
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Déclaration de la FSU au CSE du 6 octobre 2021

2021-11-18T10:37:15+01:006 octobre 2021|Catégories : Concertations, Les élu-es de la FSU à l'Education|

Déclaration de la FSU au CSE du 6 octobre 2021 Madame la Présidente, Monsieur le Directeur, Mesdames, Messieurs, Cher.e.s collègues, Même si la crise sanitaire semble être dernière nous, ses conséquences sociales et en termes de formation, notamment dans l’éducation, sont bien présentes. Le gouvernement se sert de cette crise pour amplifier la mise en œuvre de réformes néolibérales qui creusent les inégalités de toutes sortes. La pauvreté continue à augmenter dans notre pays, le chômage des jeunes, autour de 20 %, reste élevé et le nombre de NEET est supérieur à son niveau d’avant crise avec 1 million 500 mille en 2020, soit presque 13% des jeunes de 15 à 29 ans selon l’INSEE. Alors qu’aujourd’hui en pleine reprise économique, dans de multiples secteurs, la France souffre d’un manque évident de main-d’œuvre, à quoi donc ont servi la réforme « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » et le transfert de l’offre de formation par apprentissage aux branches professionnelles, les 15 milliards du Plan d’investissement dans les compétences (PIC) ou encore le plan « 1 jeune, 1 solution » et ses presque 10 milliards d’aides versées aux entreprises pour l’embauche gratuite d’alternant.e.s ? Cette situation est de la responsabilité du gouvernement qui a fait clairement le choix du développement des organismes de formation privée et de l’alternance. Ainsi, pour répondre en urgence au besoin de main-d’œuvre, Jean Castex a annoncé la généralisation de l’aide à l’embauche des chômeur.e.s de longue durée en contrat professionnel et le développement
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