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Projet de loi de « transformation » de la fonction publique : déclaration FSU – CSFPE – 14 mars 2019

2019-10-16T16:34:25+02:002 avril 2019|Catégories : Fonction publique|

Comme d’autres organisations syndicales, la FSU a refusé de siéger aux premières réunions du Conseil supérieur de la Fonction publique de l’État et du Conseil Commun de la Fonction publique devant examiner le projet de loi relatif à la transformation de la Fonction publique. La FSU n’a eu cesse, depuis près d’un an, de dénoncer les arbitrages unilatéraux du document d’orientation du gouvernement - Refonder le contrat social avec les agents publics – parce qu’ils tournaient le dos aux principes mêmes qui fondent notre modèle de Fonction publique, si structurant pour le modèle social de la France, en préconisant des mesures pour accroître le recours au contrat, individualiser les rémunérations, affaiblir les instances de représentation des personnels et les droits syndicaux de tous les agent-e-s… et cela dans un contexte où le gouvernement prône l’externalisation de missions et de services ainsi que la suppression de 50 000 emplois à l’État et de 70 000 dans la Territoriale d’ici 2022, tout en rétablissant le gel de la valeur du point d’indice et la journée de carence. Pour la FSU, ce n’est pas et ne sera jamais en dégradant la situation des agent-e-s et en affaiblissant le service public que l’on modernisera l’État et la Fonction publique. Procéder ainsi, c’est bafouer la notion même d’intérêt général en laissant entendre qu’il pourrait être confié à des intérêts privés. Ce sont aujourd’hui ces mêmes orientations que contient le projet de loi dit de transformation de la Fonction publique. Rien de nos alertes ou
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Mobilisé-es pour obtenir l’abandon du projet de loi Blanquer

2019-03-31T10:27:00+02:0031 mars 2019|Catégories : Communiqués|

Les enseignantes et enseignants se mobilisent face à la politique éducative, rétrograde et libérale, conduite actuellement à marche forcée au mépris de leur expertise professionnelle et déjà sanctionnée par l’ensemble de la communauté éducative. Elles et ils rejettent notamment le projet de loi « pour l’école de la confiance », un texte qui ne permettrait en rien d'améliorer la réussite de tous les élèves et bouleverserait radicalement le fonctionnement et la structure de l’école avec notamment la création de regroupements écoles-collège. Nos organisations syndicales SNUipp-FSU, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNUEP-FSU, FNEC-FP-FO, CGT Éduc’action et Sud Éducation dénoncent les menaces de sanctions et pressions exercées à l’encontre des personnels et défendent leur liberté d’expression. Nos organisations sont engagées dans ces mobilisations, soutiennent les actions menées localement et appellent à les développer avec tous les personnels. Lors des manifestations organisées sur tout le territoire samedi 30 mars, les enseignantes et enseignants seront rejoints dans leur mobilisation par des parents d’élèves, des élu-es ou simplement des citoyen-nes. Nos organisations appellent à faire de cette journée un moment fort de mobilisation pour le service public d’éducation. Elles appellent ainsi à faire du jeudi 4 avril un prochain temps fort de mobilisations (grève, rassemblements, manifestations...) pour obtenir l’abandon du projet de loi. Elles construisent également d’autres actions localement durant la période de vacances par zone. Elles s'engagent aussi sur le terrain de la Fonction publique pour s’opposer à la réforme gouvernementale qui détruirait le statut de fonctionnaire, et promouvoir également le service public d'éducation. Elles estiment nécessaire
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30 mars : mobilisations réussies contre la réforme Blanquer

2019-03-30T18:27:26+01:0030 mars 2019|Catégories : Communiqués|

Aujourd'hui, partout en France, des mobilisations ont rassemblé, à l'appel de plusieurs organisations syndicales dont la FSU, des dizaines de milliers de personnes: enseignant-es, personnels de l'Education, parents d'élèves, organisations de jeunesse. Elles ont montré que l'opposition à la réforme Blanquer est réelle et qu'il existe une attente forte pour obtenir, à l'inverse de ce projet de loi, des mesures permettant de donner au système éducatif la capacité de faire réussir tous les jeunes. Le gouvernement doit entendre ces exigences. Et la FSU fera tout pour qu'il en soit ainsi. Le 4 avril prochain un temps fort de mobilisations (grève, rassemblements, manifestations...) est d'ores et déjà prévu. Partout, la communauté éducative restera mobilisée pour demander une autre politique pour l'école. Les réformes du lycée, du Bac et Parcoursup sont toujours rejetées par les personnels comme par les parents. Les injonctions, les pressions, les provocations auxquelles sont soumis les personnels sont insupportables. Le gouvernement doit entendre ces exigences et abandonner le projet de loi « pour l'école de la confiance » Et le 9 mai prochain, le secteur de l'Education se mobilisera avec toutes et tous les agent-es de la Fonction publique pour défendre la Fonction publique et le service public de l'Education. Les Lilas le 30 mars 2018

Réforme Blanquer : l’épreuve des faits !

2019-03-29T17:36:59+01:0029 mars 2019|Catégories : Communiqués|

Dans un interview du 27 mars au Parisien, le Ministre de l’Éducation nationale juge que si certain-es sont en colère et se mobilisent c’est parce que d’autres mentiraient... Une défense bien peu crédible car les textes et les faits ne mentent pas eux. Les suppressions de postes sont bien réelles, le projet de création d’établissements publics des savoirs fondamentaux est bien dans le projet de loi sans consultation préalable de la communauté éducative, comme celui concernant la fin de l’évaluation indépendante des politiques éducatives. Les cadeaux financiers pour l’école privée sont très clairs à travers la mesure de l’obligation scolaire à l’école maternelle et les réformes des lycées, du baccalauréat et de Parcoursup sont autant de renoncements à la démocratisation du système éducatif. Le climat d’autoritarisme, les tentatives d’intimidation des personnels qui expriment leurs désaccords ou se mobilisent contre les orientations portées par le ministre sont bien réels aussi. Quant à la non revalorisation des personnels de l’Éducation, ceux-ci la vérifient au quotidien. La FSU, comme d’autres organisations, a mis nombre de propositions sur la table pour permettre une réelle démocratisation du système éducatif afin de combattre mieux les inégalités scolaires et élever le niveau de connaissance et de qualification. Le Ministre ne les a pas entendu à ce jour. C’est pourquoi, ce samedi 30 mars, avec l’UNSA Éducation, le SGEN-CFDT, la CGT Éducation et le Snalc, la FSU appelle à manifester partout dans le pays pour exiger d’autres perspectives que ce projet de loi afin de permettre la réussite
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30 mars : journée nationale d’action – Monsieur le Ministre, pour améliorer l’École vous n’avez pas notre confiance !

2021-02-18T14:46:13+01:0021 mars 2019|Catégories : Expression de la FSU pour l'Education|Mots-clés : |

Le ministère de l’Éducation nationale poursuit sa politique éducative rétrograde. Avec constance, il refuse de prendre en compte l’expertise professionnelle des acteurs de terrain, les avis de leurs organisations syndicales ou ceux de l’ensemble de la communauté éducative. Pourtant, le projet de loi qu’il promeut aujourd’hui pour l’école tourne le dos à l’ambition de la réussite de tous les élèves, de l’élévation générale du niveau des qualifications et s’inscrit même dans la logique de tri social qui a déjà été instaurée pour l’enseignement supérieur en l’appliquant maintenant au primaire et au collège. L’amélioration de notre système éducatif exige au contraire, une ambition politique forte et également une construction qui soit commune et concertée Or, le ministre enchaîne les attaques : Parcoursup, réformes des lycées et du bac, réforme de la voie professionnelle, évaluations imposées, suppressions de postes … Il poursuit avec sa loi « école de la confiance » qui est imposée contre l’unanimité des organisations syndicales. Pour un ministre qui ne voulait pas être celui des réformes … il transforme, à marche forcée, l’ensemble du système éducatif ! La loi Blanquer : L’École en danger Alors qu’il devait s’articuler autour de l’obligation d’instruction ramenée à 3 ans, le projet de loi dit "Pour une école de la confiance" est devenu, au fur et à mesure de ses évolutions, un texte qui bouleverserait le fonctionnement du système éducatif en l’adaptant toujours aux diktats de l’austérité budgétaire. Nous refusons : • l’école du tri social, • la création des établissements publics
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30 mars : journée nationale d’action – Monsieur le Ministre, pour améliorer l’École vous n’avez pas notre confiance !

2019-03-20T22:00:00+01:0020 mars 2019|Catégories : Communiqués|

Le ministère de l’Éducation nationale poursuit sa politique éducative rétrograde et libérale sans prendre en compte ni l’expertise professionnelle des acteurs de terrain, ni les avis de leurs organisations syndicales, ni ceux de l’ensemble de la communauté éducative. L’amélioration de notre système éducatif exige certes, une ambition politique forte mais également une construction qui soit commune et concertée. Or, le ministre entend imposer de nombreuses transformations et continue de le faire à marche forcée. Pour nos organisations, ces transformations, par leur contenu et la méthode, vont le plus souvent accroître les inégalités, dégrader les conditions de travail des personnels sans répondre à la nécessité d’améliorer le service public d’éducation pour assurer la réussite de tous les élèves et l’élévation du niveau de qualification. Loi Blanquer : Une réforme qui ne répond pas aux enjeux Alors qu'il devait s'articuler autour de l'obligation d'instruction ramenée à 3 ans, le projet de loi dit Blanquer "Pour une école de la confiance" est devenu, au fur et à mesure de ses évolutions, un texte qui bouleverserait le fonctionnement du système éducatif. Nos organisations refusent : la création des établissements publics des savoirs fondamentaux sans accord des communautés éducatives, une reprise en main de la formation des enseignants basée sur une conception du métier réduite à des fonctions d’exécution, la fin de l'évaluation indépendante des politiques éducatives, les cadeaux financiers pour l'école privée. Cette loi va se décliner par ordonnances ou textes réglementaires portant des transformations profondes. Pour un budget à la hauteur des besoins
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Transition écologique juste et durable : l’affaire de toutes et tous !

2019-03-11T20:55:18+01:0011 mars 2019|Catégories : Communiqués|

Réchauffement climatique, perte considérable de la biodiversité, épuisement des ressources naturelles, pollutions des océans, usage immodéré de produits phytosanitaires, dissémination de perturbateurs endocriniens… Les dégradations sont nombreuses et atteignent souvent des seuils d'irréversibilité à court terme. Les conséquences pour les populations sont de plus en plus dramatiques. Les gouvernements doivent agir sans délai et à grande échelle pour permettre la construction d'une société plus juste, plus solidaire qui réponde aux questions environnementales, sociales et de santé sans les dissocier. Dans notre pays, comme un peu partout dans le monde, cette question d'une transition environnementale juste socialement est une préoccupation majeure particulièrement des jeunes. Elle est partagée par de nombreuses associations et organisations syndicales et politiques. Depuis toujours, la FSU est engagée pour ce combat : initiatives autour des différentes COP, pour un investissement vert, en soutien à la grève mondiale des jeunes pour le climat, dans la Marche du siècle…mais aussi, en tant qu'organisation syndicale en responsabilité dans le secteur de la Fonction publique, elle agit pour que cette préoccupation devienne une démarche intégrée dans toutes les politiques publiques mises en œuvre : Agriculture, Education, Ecologie... La convergence de l'écologie et du social doit être l'affaire de toutes et tous. Cela aurait pu être la démarche du pacte écologique et social proposé par des organisations. L'heure n'est pas à l'entre soi, l'enjeu nécessite le rassemblement des forces et des intelligences pour construire et soutenir des propositions communes, pour faire des défis qui sont devant nous une chance pour l'avenir. C'est
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Une proposition de loi contre la liberté de manifester

2019-03-07T14:42:29+01:007 mars 2019|Catégories : Communiqués|

Si la loi est votée par le Parlement au nom du peuple français, elle ne peut et elle ne doit pas porter atteinte à la libre expression du peuple. La proposition de loi adoptée par l’Assemblée nationale qui prétend encadrer le droit de manifester constitue une atteinte grave aux libertés publiques et à l’équilibre des pouvoirs. Les violences contre les personnes, les biens, les institutions qui ont eu lieu ne peuvent justifier qu’un exécutif s’arroge des pouvoirs exorbitants et décrète qui peut ou ne peut pas manifester. Participer à une manifestation ne saurait pas plus signifier le risque pour tout individu d’être poursuivi, fiché et condamné pénalement comme financièrement. Soumettre les participants et les participantes à une manifestation à une fouille systématique, confier aux préfets le pouvoir d’interdire à une personne de manifester, y compris sans qu’elle ait connaissance de l’interdiction prononcée et donc sans recours effectif possible, faire d’un visage en partie couvert un délit, voici l’esprit et la lettre de mesures qui sont autant d’empêchements à l’exercice d’un droit essentiel en démocratie : celui de manifester publiquement, collectivement et pacifiquement son opinion. Cette loi de circonstance porte un lourd risque d’arbitraire des gouvernements d’aujourd’hui comme de demain. C’est pourquoi nous appelons solennellement le gouvernement et le Parlement à abandonner ces mesures qui violent les principes les plus fondamentaux d’un Etat de droit. Paris, le 7 mars 2019 Signataires : Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (Acat) ; Action non-violente COP21 (ANV-COP21) ; Alternatiba ; Amnesty international
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