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Journée du 30 mars

2021-02-18T14:46:02+01:007 mars 2019|Catégories : Expression de la FSU pour l'Education|Mots-clés : |

Le ministère de l’Éducation nationale poursuit sa politique éducative sans prendre en compte ni l’expertise professionnelle des acteurs de terrain, ni les avis de leurs organisations syndicales. Les transformations prévues vont accroitre les inégalités, dégrader les conditions de travail des personnels sans répondre à la nécessité d’améliorer le service public d’éducation pour assurer la réussite de tous les élèves et l’élévation du niveau de qualification. Dans les perspectives d’une grande mobilisation, la FSU appelle à l’unité syndicale le plus large possible pour faire du 30 mars une journée de manifestations pour demander l’abandon de la loi Blanquer, un engagement budgétaire faisant de l’éducation une véritable priorité et permettant une véritable reconnaissance des personnels. Pour l’abandon de la loi Blanquer Pour la priorité au service public d’éducation Pour d’autres perspectives ambitieuses pour les élèves et les personnels Pour une véritable reconnaissance de nos métiers Manifestations nationales le 30 mars

L’égalité Femmes/Hommes : toujours un combat !

2019-03-06T10:03:36+01:006 mars 2019|Catégories : Communiqués|

La mobilisation des femmes et l’unité des organisations syndicales nous ont permis de gagner de premières avancées : création de référentes et référents du personnel contre les violences, mise en place d’une obligation de résultat en matière d’égalité salariale, suppression du jour de carence pour les femmes enceintes dans la Fonction publique. Ces dispositifs doivent être améliorés et complétés par des mesures ambitieuses accompagnées des moyens humains et financiers à la hauteur de l’enjeu. En effet, le compte n’y est pas. Le quotidien des femmes est toujours marqué par les inégalités salariales, la précarité et les violences sexistes et sexuelles. Pour faire enfin de l’égalité une réalité, c’est toutes les politiques publiques qui doivent être pensées et évaluées à cette aune. Nous alertons avec force : le projet de loi dit « de transformation de la Fonction publique », contredit cet objectif. S’il est adopté, Le recours accru à des emplois contractuels, impactera négativement la situation professionnelle et financière des femmes. Alors que la lutte contre les violences sexistes et sexuelles est une priorité, le projet de loi amoindrit les outils dédiés à la santé au travail. Il aurait pour conséquence un recul des services publics, pourtant déterminants pour l’émancipation des femmes, et de l’emploi public, aujourd’hui majoritairement féminin. Si nos organisations sont elles-mêmes engagées de longue date dans ce combat pour l’égalité, nous réaffirmons la nécessité d’intensifier la mobilisation de nos militantes et militants, d’amplifier nos actions en faveur de l’égalité professionnelle et de faire progresser la mixité au
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Compte-rendu du CTM du 30 janvier 2019

2021-02-18T14:45:35+01:005 mars 2019|Catégories : Les élu-es de la FSU à l'Education|Mots-clés : |

1/ Déclaration liminaire de la FSU Dans sa déclaration liminaire (voir la déclaration complète en fin de document), la FSU a réitéré sa vive critique de la politique menée à marche forcée par le ministère sans qu’il ne soit pris en compte les expressions, les critiques, les aspirations ou les revendications des personnels portées par leurs représentants syndicaux : désaccord quant à l’intention politique de restreindre le droit d’expression des personnels que révèle l’article 1 du projet de loi pour une école de la confiance ; dénonciation du renforcement des pressions managériales et de la culture de l’évaluation afin de piloter l’école par les résultats et y adosser des velléités d’instaurer un salaire au "mérite", par exemple par les évaluations de mi-CP. Dans le premier degré, la dotation ne couvre même pas les 4 000 postes nécessaires pour finir le dédoublement des classes de CP et CE1 en éducation prioritaire. Malgré une baisse démographique, cela conduit à des suppressions de postes dans plusieurs départements qui se traduiront par de nouvelles dégradations des conditions d'enseignement et d'apprentissage notamment en maternelle, dans le rural et acteront la disparition totale des "plus de maîtres que de classe". Dans le second degré, la FSU a dénoncé les conséquences prévisibles de la baisse drastique des moyens et de la transformation d’une partie en heures supplémentaires : baisse de l'offre de formation et nouvelles dégradations des conditions de travail et d'études. Dans les lycées, les projets d’implantation des spécialités montrent d’ores et déjà une cartographie profondément
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L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est une exigence sociale !

2019-03-01T15:57:52+01:001 mars 2019|Catégories : Communiqués|

Le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, est l'occasion partout dans le monde d'effectuer un bilan sur l'ensemble des droits acquis ou à conquérir pour les femmes et les filles. Les organisations syndicales ont mené les luttes indispensables pour obtenir et conserver ces droits. La FSU s'engage à poursuivre ce combat au quotidien car l'égalité professionnelle comme la lutte contre les violences sexistes et sexuelles participent d'une société juste, plus égalitaire et plus démocratique. En France, les réformes imposées à marche forcée à l'ensemble des salarié-es dégradent les droits de tous mais elles auront des impacts plus négatifs sur les femmes. La loi Fonction Publique, par le recours accru aux contrats, va générer plus d'emplois précaires alors même que ce sont les femmes qui sont le plus impactées par ces emplois subis. L'instauration d'une part au mérite dans les salaires nécessite du temps pour du travail supplémentaire et du temps pour le valoriser. Or, le temps des femmes et celui des hommes reste très différentié du fait de la prise en charge du travail domestique toujours fortement imparti aux femmes. La fusion prévue des CT et des CHSCT vont affaiblir les leviers d'actions pour lutter contre les injustices, les violences et les risques psycho-sociologiques subis par les femmes. Enfin, la volonté d'imposer la mobilité à l'ensemble des fonctionnaires sera plus contraignant-es pour les femmes souvent en charge d es enfants et des ascendant-es. Pour la FSU, la Fonction Publique doit être renforcée ! Et l'amélioration des services publics
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Le collectif #JusticeDesEnfants

2020-02-20T14:00:54+01:0019 février 2019|Catégories : Droits et libertés|

Le collectif #JusticeDesEnfants regroupe un ensemble de syndicats tel que le Syndicat de la Magistrature (SM), le Syndicat des Avocats de France (SAF), le Syndicat National des Personnels de l'Education et du Social (SNPES-PJJ/FSU), la CGT, ainsi que d'organisations non gouvernementales telles que la Ligue des Droits de l'Homme (LDH), l'Observatoire International des Prisons (OIP), Génépi.... Suivez-nous sur Facebook! Suivez-nous sur Twitter! Les avis du collectif Vous pouvez aussi aller plus loin concernant: l'abrogation de l'ordonnance de 45 l'avis du défenseur des droits

Loi Blanquer : cinq organisations syndicales demandent aux députés de ne pas la voter en l’état

2019-02-19T15:01:01+01:0019 février 2019|Catégories : Communiqués|

Alors qu'il devait s'articuler autour de l'obligation d'instruction ramenée à 3 ans, le projet de loi dit Blanquer "Pour une école de la confiance" est devenu, au fur et à mesure de ses évolutions, un texte qui bouleverserait le fonctionnement du système éducatif sans faire la preuve de progrès : Création d'établissements publics des savoirs fondamentaux sans accord des communautés éducatives, réforme de la formation des enseignants, fin de l'évaluation indépendante des politiques éducatives, cadeaux financiers pour l'école privée. Ce projet de loi s'est même affranchi de discussions préalables de par les nombreux amendements intégrés, tant parlementaires que gouvernementaux. Il prépare d'autres réformes profondes pouvant être décidées par ordonnances ou textes réglementaires. L'ensemble des organisations syndicales FSU, UNSA Education, Sgen-CFDT, Ferc-CGT et SNALC dénonce cette méthode verticale ne pouvant que cristalliser les tensions, et à nouveau bousculer l'Ecole dans un contexte qui nécessite apaisement et implication de l'ensemble des acteurs. En conséquence, elles s'adressent solennellement aux députés et leur demandent de ne pas voter cette loi en l'état. Les Lilas 19 février 2019

Ensemble pour l’école inclusive : un rendez-vous manqué !

2019-02-13T16:01:31+01:0013 février 2019|Catégories : Communiqués|

Le 22 octobre dernier, le Ministère de l'Education Nationale et le Secrétariat d'Etat aux Personnes Handicapées lançaient, à grand renfort de communication, une consultation sur l'école inclusive. Cette concertation, déclinée en trois axes thématiques (attendus des familles et des associations, un métier d'accompagnant attractif et la mise en œuvre de l'expérimentation des Pôle Inclusifs d'accompagnement localisé 5 -PIAL-) débouche aujourd'hui sur des propositions qui seraient mises en place dès la rentrée 2019 pour « une transformation complète de l'école à la rentrée 2020 ». Si elle salue, sur le principe, le débat initié, la FSU émet plusieurs regrets : La concertation est un rendez-vous manqué avec les personnes-clés de l'école : les enseignants. Il y a pourtant tant à dire sur les conditions humaines et matérielles nécessaires à une véritable école inclusive ! La simplification des documents et des parcours est importante pour les familles, mais elle ne garantit en rien une amélioration des conditions de scolarisation nécessaires à une meilleure inclusion des élèves en situation de handicap dans la classe ordinaire. Le bilan qualitatif sur l'effort d'inclusion mené dans les écoles, les collèges et les lycées, au moment même où des alertes de diverses natures sont lancées, jusqu'au CHSCT Ministériel se fait toujours attendre. La réussite de tous les élèves ne se mesure pas à l'aune de statistiques ; les conditions d'accueil, d'apprentissage et d'enseignement sont primordiales et les ministres restent muets sur cette question. Alors que la réussite réelle de l'inclusion au sein des établissements scolaires dépend directement,
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Loi Blanquer : la confiance ne se décrète pas !

2019-02-13T10:37:28+01:0013 février 2019|Catégories : Communiqués|

La loi Blanquer dite de « l'école de la confiance » qui avait pour but essentiel d'abaisser l'âge de la scolarisation obligatoire à 3 ans est devenue un véritable fourre-tout au service du projet idéologique du gouvernement. La FSU y lit la volonté du Ministre de l'éducation d'imposer des transformations importantes tant dans l'organisation de l'École que dans les contenus à enseigner. Depuis plusieurs mois, la FSU a exprimé au Ministre de l'Éducation ses réserves et ses inquiétudes sur ce projet. Elle a formulé de nombreuses propositions et amendements notamment lors du Conseil supérieur de l'Éducation. Aucun n'a été intégré. La FSU dénonce un projet de loi qui ne prend pas en compte les avis de la communauté éducative. Et elle s'inquiète de ces articles disparates qui ouvrent la voie à d'autres réformes profondes pouvant être décidées par ordonnances ou textes réglementaires. Les sujets de préoccupations sont nombreux et la FSU alerte les parlementaires sur les choix qu'ils sont amenés à faire. Ainsi, alors que la loi de 1983 présente des garanties d'équilibre entre les droits et les obligations des fonctionnaires, l'article 1 du projet cherche à renforcer le contrôle de l'expression des agent-es. Pour la FSU, l'obligation de neutralité des fonctionnaires ne peut pas se transformer en une atteinte à la liberté d'expression et de fait à une contrainte au silence. Sous les apparentes générosités d'un développement d'une scolarité en maternelle, les articles 2 à 4 servent en réalité de prétexte pour contraindre les collectivités territoriales à financer les
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