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Situation sociale

2018-11-26T10:45:53+01:0026 novembre 2018|Catégories : Communiqués|

En dépit d’ambiguïtés, une partie de la population est mobilisée pour exprimer un réel problème de pouvoir d'achat mais aussi des sujets d'inquiétude qui témoignent d'une angoisse réelle pour l'avenir. La FSU estime que le gouvernement doit en prendre la mesure en y apportant les réponses sociales nécessaires. Pour la FSU, la transition écologique est urgente et elle réaffirme son attachement à une transformation du système de production et de consommation pour assurer l'avenir de nos sociétés. Mais cette transition doit être juste socialement et ne saurait donc peser financièrement que sur les classes populaires et moyennes. Dans ses mobilisations et interventions quotidiennes, la FSU porte l'exigence de davantage de justice sociale, d'égalité et de progrès social pour toutes et tous. Cela passe par le renforcement des services publics (Education, santé, emploi, justice, logement, transports …) et un aménagement des territoires assurant l’égalité aussi bien dans les territoires qu’entre eux. Ces politiques exigent une fiscalité plus juste et un réel partage des richesses produites. La FSU tient à rappeler que la cohésion sociale tient aussi à la défense et au respect des valeurs qui fondent notre société. La FSU est engagée depuis toujours dans le combat pour l'égalité professionnelle et dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Elle appelle à la réussite des manifestations du 24 novembre pour défendre les droits des femmes. La FSU estime que le gouvernement a la responsabilité de ne pas laisser se dégrader le climat social. S’il souhaite réellement faire œuvre de conciliation,
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La France n’est pas assez riche d’enfants pour en négliger un seul !

2018-11-26T10:43:10+01:0026 novembre 2018|Catégories : Communiqués|

Nos organisations syndicales et associatives sont scandalisées par l'annonce de la Garde des Sceaux : vouloir réformer la justice des enfants et des adolescent.e.s par voie d'ordonnances et obtenir pour ce faire une habilitation dans le cadre du projet de loi de programmation Justice 2018-2022 actuellement débattu à l'Assemblée nationale dans le cadre d'une procédure accélérée. Il s'agit d'un passage en force inacceptable pour un sujet aussi essentiel et sensible qui nécessite au contraire une réflexion et une consultation des professionnels et un véritable débat démocratique. Actuellement, la justice des enfants est principalement régie, dans le cadre pénal, par l'Ordonnance du 2 février 1945 qui a pour principe fondateur la primauté de l'éducatif sur le répressif. Depuis sa rédaction initiale, 90 % des articles ont été modifiés, au gré des gouvernements et des faits divers. Ces modifications ont surtout eu pour effet d'afficher une plus grande sévérité à l'égard des mineur.e.s, par des procédures accélérées et des peines et mesures de sûreté (détention provisoire, contrôle judiciaire) qui se rapprochent dangereusement de celles des majeur.e.s. Le principe de responsabilisation à outrance de l'enfant est venu progressivement supplanter celui de protection et d'éducation. La première des conséquences est l'augmentation constante de l’enfermement des mineur.e.s. Au 1er octobre 2018, 835 adolescent.e.s étaient incarcéré.e.s, auxquels il faut ajouter le chiffre gris des jeunes majeur.e.s condamnée.e.s pour des faits commis lors de leur minorité, ainsi que les mineur.e.s placé.e.s dans les 52 centres éducatifs fermés (CEF) existants. La demande du gouvernement d’un véritable blanc seing
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Fonction publique : lettre au président de la république

2018-11-23T14:15:00+01:0023 novembre 2018|Catégories : Communiqués|

Monsieur le Président de la République, A la fois dépositaire et garante de l’intérêt général, la Fonction publique incarne et met en oeuvre les valeurs qui sont celles de la devise de la République. Et c’est au nom de l’intérêt général, de la volonté que toutes et tous doivent pouvoir accéder aux droits fondamentaux, que la Fonction publique assure une grande partie du service public sans se borner aux seules fonctions régaliennes de l’État. Dans chacun de ses versants, État, territorial ou hospitalier, c’est près de 5,5 millions d’agent-es (soit 20 % de l’emploi total du pays) qui, au quotidien, assurent aux citoyen-ne-s la permanence, la proximité, l’égalité de traitement, la continuité et l’accessibilité du service public. Éducation, santé, contrôle, protection, justice, culture, aménagement du territoire, entretien des biens publics, investissement dans des structures collectives, redistribution d’une part importante de la richesse nationale... sont aussi des conditions essentielles de la vitalité et du développement social et économique du pays. La FSU considère ainsi que la Fonction publique est un atout dans notre société du XXIème siècle. Moderne et dynamique, elle est essentielle pour préparer l'avenir. Car la Fonction publique sait adapter son action. Partout, dès qu’un défi lui a été lancé, les agent-es ont su le relever. Mais alors que se prépare le projet de loi réformant la Fonction publique, la FSU tient à vous alerter sur des orientations de votre gouvernement qui ne sont pas porteuses d’avenir pour la Fonction publique et ses agent-es. De nombreuses déclarations et décisions,
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Engagé-es au quotidien pour les droits des enfants

2018-11-20T14:10:29+01:0020 novembre 2018|Catégories : Communiqués|

Le 20 novembre est le jour anniversaire de l’adoption par l’Assemblée de la Déclaration des droits de l’enfant en 1959 et de la Convention internationale des droits de l’enfant de 1989. Autant de principes, non-discrimination, intérêt supérieur de l'enfant, respect des opinions de l'enfant… que de droits à la Santé, l’éducation, la protection…, sont établis. Mais aujourd’hui encore, trop souvent est bafoué le principe, que nous pourrions croire acquis dans nos sociétés démocratiques, d’un respect absolu des droits de l’enfant. En France, des enfants, parfois en danger, attendent des mesures de protection judiciaire qui ne peuvent être mises en œuvre faute de moyens nécessaires dans les services concernés. Des adolescents sont enfermés dans des centres ou incarcérés sans que soient développée une politique qui ferait le choix délibéré de l’éducation. Des enfants voient leur accès à l’école empêché sous des prétextes administratifs qui ne devraient en rien pouvoir entraver leur droit à l’éducation. Des enfants sont placés en centre de rétention alors que cet enfermement constitue un grave traumatisme tant par ses conditions mêmes que lorsqu’il conduit à des séparations familiales. Faute d’accord sur leur prise en charge, des mineurs non accompagnés ne bénéficient pas des nécessités les plus fondamentales de la vie quotidienne : nourriture, hébergement, soins, protection, éducation, … Des enfants dont les besoins particuliers nécessiteraient des prises en charge spécifiques ne bénéficient pas de lieux d’accueil et de prises en charge éducatives ou thérapeutiques. Des enfants vivent en dessous du seuil de pauvreté dans des territoires où
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Nous, syndicalistes, nous marcherons pour dire stop aux violences sexistes et sexuelles que subissent les femmes au travail

2019-06-17T16:53:30+02:0019 novembre 2018|Catégories : Egalité femmes-hommes|

Une centaine de syndicalistes se mobilisent afin que les victimes de violences sexuelles et sexistes soient protégées dans leur emploi et leur carrière. Au travail, dans le secteur privé ou dans la fonction publique, les femmes ne sont pas épargnées par le sexisme et les violences sexuelles. 80 % d’entre elles déclarent y avoir déjà subi des propos sexistes (enquête du CSEP, 2015), 32 % du harcèlement sexuel ou une agression sexuelle (IFOP, 2018). Plusieurs milliers de femmes sont violées chaque année sur leur lieu de travail (CVS, 2017). Qu’elles soient le fait d’employeurs, de supérieurs hiérarchiques, de collègues ou d’usagers, ces violences ont des conséquences sur l’état de santé des victimes, elles impactent leur entourage, elles ont des répercussions sur leurs conditions de travail et le déroulement de leur carrière. Cette réalité, inadmissible, n’est pas une fatalité : des solutions existent qui nécessitent une réelle volonté politique et des moyens au-delà des déclarations d’intention. Les violences contre les femmes au travail font encore grandement partie de nos angles morts. Ce qui se passe dans les entreprises ou les administrations ne relève pas seulement d’un rapport individuel entre des collègues ou entre l’encadrement et les salarié(e)s. Devoir de protection des victimes L’employeur du secteur privé ou de la fonction publique a une obligation inscrite dans la loi de prendre « les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs ». Les victimes qui dénoncent les violences subies doivent être protégées dans leur carrière
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Grève du 12 novembre : soutien aux enseignants de 72% de la population

2021-02-18T14:45:28+01:0015 novembre 2018|Catégories : Les élu-es de la FSU à l'Education|

Pour la rentrée prochaine, le gouvernement a prévu la diminution de 4 500 emplois de fonctionnaires d’État : 40 % de cette baisse est supportée par la seule Éducation nationale. La fin de la priorité budgétaire est conjuguée à une politique éducative fondée sur le pilotage par les résultats, l’injonction et la remise en cause des résultats de l’école. Les personnels vivent cette politique comme une remise en cause de leur professionnalité et une absence de reconnaissance. Ils l’ont montré lors de l’action et de la grève du 12 novembre. Le ministre ne peut se prévaloir d’un objectif de lutte contre les inégalités et d’augmentation générale du niveau des élèves sans s’en donner les moyens. Le projet de loi de finances 2019 marque ainsi la fin de la priorité accordée à l’Éducation nationale. Il renoue avec une logique de suppressions de postes, qui ira en s’amplifiant dans les prochaines années. L’objectif du gouvernement est de supprimer 50 000 postes de fonctionnaires de l’État d’ici la fin du quinquennat. Dans le primaire, les 1 800 postes créés ne suffiront pas au dédoublement des CP et CE1 en éducation prioritaire puisque le ministère annonce lui-même que 4 000 postes seraient nécessaires. Avec les 2 650 suppressions de postes d’enseignants dans le second degré et les 400 suppressions de postes de personnels administratifs, c’est partout que les conditions d’apprentissage des élèves et de travail des personnels se dégraderont dès la rentrée prochaine. L’administration quotidienne, l’accueil des élèves et de leurs familles, la gestion
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Demander un nouvel identifiant électeur

2019-06-19T12:48:14+02:0015 novembre 2018|Catégories : Elections professionnelles 2018 - FSU engagé-es au quotidien|

Pour pouvoir voter, chaque électeur-trice doit disposer : d'un identifiant qui a été transmis par courrier à l'adresse professionnelle (notice de vote avec case à gratter) d'un mot de passe (celui créé dans l'espace électeur) En cas de perte de l'identifiant, il est possible de demander un nouvel identifiant qui vous sera transmis par SMS : se rendre dans son espace électeur : https://elections2018.education.gouv.fr/ choisir Demander un nouvel identifiant électeur compléter le formulaire Un nouvel identifiant vous est transmis par SMS sur votre portable

La FSU engagée au quotidien pour que cessent les violences faites aux femmes

2018-11-13T10:53:51+01:0013 novembre 2018|Catégories : Communiqués|

Il y a un an, les femmes ont libéré leurs paroles sur les réseaux sociaux en dénonçant massivement les violences sexistes et sexuelles dont elles sont victimes. Ces témoignages venus du monde entier ont révélé l’ampleur de ces violences et ont démontré que les femmes se saisissent d’un espace de parole quand il leur est proposé. Ils ont aussi mis en exergue le manque évident de lieux et de personnels formés pour recueillir leur parole et les conditions d'écoute actuellement inadaptées. L’institution judiciaire et l’environnement professionnel ne remplissent pas correctement leurs missions de prévention, d’accueil et de protection des femmes comme le prévoient pourtant divers textes législatifs. La FSU continue de dénoncer la baisse d'aides déjà insuffisantes de l’État aux associations qui prennent en charge les victimes, aux organismes de recherche qui décortiquent les mécanismes produisant les inégalités et les violences. Pour la FSU, la loi contre les violences sexistes et sexuelles comporte de graves lacunes en matière de protection des mineur-es et ne va pas assez loin pour lutter contre les violences faites aux filles et aux femmes. Elle demande une véritable loi cadre. Au travail les violences subies par les femmes sont rarement identifiées et reconnues comme telles. Et la fonction publique n'est pas épargnée. Pourtant, ces violences ont un impact avéré sur leur santé physique et mentale comme sur leur déroulement de carrière. Pour la FSU, l'institution a le devoir d'accompagner et de protéger les victimes dans leur carrière mais aussi dans leur emploi. La FSU exige
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