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8 mars : pour l’égalité professionnelle dans la Fonction publique !

2019-06-17T16:54:18+02:006 mars 2018|Catégories : Egalité femmes-hommes|Mots-clés : |

Violences faites aux femmes, inégalités professionnelles, de retraite, stéréotypes… l'actualité chargée de ces derniers mois témoigne des réelles inégalités qui persistent entre les femmes et les hommes aussi bien dans la vie professionnelle que personnelle. Les femmes, qui représentent 62% des agent-es de la Fonction publique, ne sont pas épargnées ! A fonction égale, les écarts de rémunération y sont de 13,3% entre les femmes et les hommes. Inacceptable pour la FSU ! Alors pour «ne pas perdre pied» (cf. le visuel "A la Une"), la FSU appelle l'ensemble des agent-es à participer aux nombreuses actions et mobilisations (rassemblements, débrayages, manifestions, grève…) qui auront lieu ce 8 mars. Elle organise ce jour-là des débats à Paris sur la question de l'égalité professionnelle et sur celle de l'éducation à l'égalité. D'ores et déjà, la FSU a diffusé un livret sur l'ensemble des départements pour aider les femmes à s'armer et à lutter contre toutes les formes de violences. Lors du Conseil commun de la Fonction publique du 9 mars prochain, la FSU, qui se bat dans la Fonction publique pour que l'application du protocole de 2013 sur l'égalité femmes-hommes se concrétise, demandera une nouvelle fois au gouvernement de faire appliquer les lois en matière d'égalité professionnelle et d'y dédier les moyens nécessaires. Elle ne se contentera pas d'un simple affichage dans la communication. Elle exigera également un plan d'ampleur pour lutter contre toutes les formes de violence et des dispositifs de prévention et d'éducation pour lutter contre les stéréotypes de genre
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Elle agit ! Elle se bat !

2019-06-19T15:34:52+02:0026 février 2018|Catégories : Rémunérations|

Elle agit ! ELLE SE BAT POUR CONSOLIDER LES ACQUIS DE PPCR, POUR LES SECURISER ET LES ELARGIR FACE AUX REMISES EN CAUSE DU GOUVERNEMENT La FSU s'est opposée au report de PPCR mais elle a permis qu'une grande partie des avancées que le protocole contenait, en particulier la mise en place de nouvelles carrières, soient sécurisées. Les syndicats de la FSU agissent désormais dans les commissions paritaires qui se tiennent en ce moment même (janvier 2018) dans les académies et départements. A l'Éducation Nationale par exemple, ils viennent d'obtenir un barème qui sécurise le passage à la hors classe pour les professeurs des écoles, professeurs, CPE et PSY EN arrivés en fin de classe normale (c'est à dire au 11° échelon depuis 3 ans). Ils ont obtenu aussi les premiers passages à la classe exceptionnelle (nouveau grade créé et qui permet donc des rémunérations supérieures à ce qui existait avant PPCR), pas encore pour la totalité des collègues mais l'intervention déterminée des commissaires paritaires permet de promouvoir davantage de collègues proches de la retraite.   ELLE SE BAT POUR L'ÉGALITE SALARIALE FEMMES-HOMMES Si l'écart moyen de rémunération entre les femmes et les hommes est moins important dans la fonction publique (13,3 %) que dans le secteur privé (18,6%), il y a - à compétences et fonctions égales- un écart non expliqué. Et, comme le souligne le rapport annuel sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans la fonction publique de 2017, " … le seul fait d'être
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Mineur.es isolé.es Pour une protection de l’enfance, immédiate, pleine et entière

2020-02-18T11:59:15+01:0020 février 2018|Catégories : Droits et libertés|

La mission bipartite (composée de ministères et de départements), nommée par le Premier ministre, a rendu son rapport sur la réforme du dispositif d'évaluation et d'accueil provisoire d'urgence des mineur.es isolé.es étranger.es. Loin des considérations de protection de l'enfance, ce rapport confirme la vision purement budgétaire et technocratique qui semble animer les pouvoirs publics, n'utilisant même jamais le terme « enfant » lui préférant celui de « flux ». Tout en décrivant deux scénarios possibles, ce rapport semble privilégier le transfert de compétences des missions d'évaluation et d'hébergement d'urgence des départements vers l'État, ce qui aboutirait à un régime discriminatoire à l'égard des jeunes exilé.es. Nous nous opposons à ce transfert de compétences, les mineur.es isolé.es devant relever de la protection de l'enfance et être considéré.es avant tout comme des enfants et non comme des étranger.es. Les dysfonctionnements actuels proviennent essentiellement d'un manque de moyens financiers et humains criant, avec pour conséquence des évaluations empreintes de suspicion, des mises à la rue brutales et/ou des conditions de prise en charge indignes. Par ailleurs, sont prévues un certain nombre de préconisations communes aux deux scénarios particulièrement inquiétantes qui nous alertent sur les objectifs réels de cette réforme. Ainsi, la notion « d'accueil provisoire d'urgence » semble disparaître au bénéfice d'une simple « mise à l'abri ». La création d'un circuit court pour les jeunes manifestement mineur.es ou majeur.es interroge : qui va décider de « l'âge manifeste », sur quels critères objectifs et fiables et quel recours sera effectivement prévu
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Soutien aux enseignant-es et inspectrices menacées sur le site « Riposte Laïque »

2018-02-13T15:37:31+01:0013 février 2018|Catégories : Droits et libertés|

Le site "Riposte Laïque" a menacé nommément des enseignantes, des enseignants et des inspectrices en appelant à leur lynchage sur les réseaux sociaux et leur renvoi de l'Éducation nationale, en raison de leurs positions critiques contre l'instrumentalisation nationaliste de l'histoire. La FSU dénonce ces méthodes inacceptables de mise en cause publique et affirme son soutien à ces collègues. Elle encourage la poursuite de leurs travaux pour que, dans le travail didactique et pédagogique des enseignants, soient questionnées les relations entre histoire et idéologie.

Réforme de l’Apprentissage : des mesures dangereuses pour l’avenir des jeunes

2018-02-13T15:05:49+01:0013 février 2018|Catégories : Communiqués|

La FSU a pris connaissance des mesures annoncées par le gouvernement concernant l'apprentissage. Elle estime que celles-ci sont dangereuses pour les jeunes et pour l'ensemble de la formation professionnelle initiale (scolaire et apprentissage). Alors qu'aujourd'hui l'urgence est de permettre à tous les jeunes d'accéder à une formation débouchant sur un diplôme, le gouvernement fait le choix dogmatique du développement de l'apprentissage aux niveaux bac et pré-bac. Cette orientation va exacerber la concurrence entre les systèmes de formation professionnelle au détriment de leur qualité et de l'accueil des jeunes. Le gouvernement veut implanter des formations en apprentissage dans tous les lycées professionnels alors que les formations en alternance sous statut scolaire permettent une meilleure sécurisation du parcours des jeunes avec un taux d'accès au diplôme plus élevé. De plus, le gouvernement propose une refonte du financement qui va déboucher sur une nième réforme de la taxe d'apprentissage. La FSU rappelle que l'ensemble des systèmes de formation doivent être financés, y compris les formations technologiques et professionnelles au lycée et au collège, afin d'assurer la qualité des formations qui y sont dispensées. La relance du pré-apprentissage ou la mesure permettant aux CFA de garder les jeunes en CFA après une rupture de contrat risquent d'accentuer le nombre de jeunes qui quittent prématurément l'école et alimentera le nombre très élevé de jeunes sans qualification et sans emploi. Concernant les mesures pour les jeunes apprenti-es, elles ne sont pas à la hauteur de leurs attentes. Encore une fois, l'État décide de financer massivement les
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