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Lettre électronique FSU du MEN décembre 2017

2019-06-17T16:15:07+02:0021 décembre 2017|Catégories : Campagnes|Mots-clés : |

Fédération Syndicale Unitaire Avec la FSU, pour la Fonction publique, pour les personnels, pour le service public d'éducation, pour nos métiers Edito Pour une année 2018 heureuse et engagée au quotidien ! Pour assurer la réussite de tous les élèves et l'élévation du niveau de qualification, la question de nos métiers est au cœur des enjeux. Nos exigences d'amélioration de la formation, tant initiale que continue, d'accompagnement des personnels dans l'exercice de leur métier, de réflexion sur le temps de travail, sur le travail en équipe, d'investissements à la hauteur des besoins … doivent maintenant être entendues. Lire la suite Une avancée qu'il convient de conforter La FSU a porté, durant toute la période de négociation du protocole PPCR, des propositions pour améliorer le projet initial. Le protocole obtenu, n’est certes pas à la hauteur des pertes subies par les agents de la Fonction Publique, mais pour autant la FSU a estimé que les avancées obtenues représentaient un gain pour tous les personnels. Le gouvernement d’Edouard PHILIPPE a pris la décision de reporter d’un an le calendrier de mise en œuvre de PPCR. Ainsi tous les agents vont ainsi être impactés et plus particulièrement les personnels de catégorie C et les personnels sociaux. Ce report se double de la décision de recourir à nouveau au gel de la valeur du point d’indice. Ces décisions sont inacceptables car elles représentent un manquement aux engagements et à la parole de l’Etat. Lire la suite La FSU dans l’éducation nationale Neuf syndicats membres
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Démocratisation de l’accès au patrimoine culturel, l’exemple du sport scolaire du second degré

2019-06-17T16:15:07+02:002 décembre 2017|Catégories : Campagnes|Mots-clés : |

Au cours de son histoire, le système éducatif a évolué pour s'ouvrir de plus en plus sur la société et sur le monde. Cette ouverture sur une société en constante évolution, sur le patrimoine culturel ne s'est pas faite sans poser de questions qui peuvent toujours être vives tant les velléités d'investir l'école peuvent être forte. C'est notamment le cas dans le milieu sportif où les fédérations, en difficulté financière et en crise d'adhésion, voit dans l'école une opportunité de développement. Comment rendre accessible la pratique physique sportive et artistique pour le plus grand nombre quelle que soit son origine sociale, son sexe, sa morphologie, son niveau…, comment développer une politique du sport pour tous à moindre coût ? Ces questions ont été et sont toujours au centre des problématiques et qui, mieux que l'école, est en capacité de répondre au mieux à ces objectifs ? Si des associations sportives scolaires existent depuis 1890, il aura fallu attendre 1938 et le Front Populaire pour qu'une organisation sui generi intégré au service public d'éducation voit le jour. Cette politique voulue par Jean Zay (Ministre de l'Education) et Léo Lagrange (sous-secrétaire d'Etat aux sports) visait l'accès à la pratique sportive par le plus grand nombre en offrant les moyens de fonctionnement et en mettant au cœur du dispositifs les enseignants d'EPS. Si l'on peut considérer que cette démocratisation des pratiques est, au regard des chiffres, une réussite indéniable du service public d'éducation puisqu'on passe de 580 associations sportives et de 17 000
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Budget 2018 : mauvais coup pour les salaires et les postes !

2019-06-17T16:15:07+02:002 décembre 2017|Catégories : Campagnes|Mots-clés : |

Le débat budgétaire pour 2018 est révélateur de l'orientation et des choix faits par le gouvernement. Il est lourd de conséquences pour les services publics et la situation qui va être faite aux personnels. Le gouvernement poursuit l'objectif d'une réduction drastique des dépenses publiques, affaiblissant les moyens d'assurer un service public de qualité et de proximité. Par ailleurs, il organise la diminution des recettes fiscales au profit des plus riches à travers la réforme de l'ISF ou de l'instauration de la « flat-tax » sur les dividendes à un taux moindre que l'impôt sur le revenu. Pour la FSU, cela remet en cause notre modèle social et accroît les inégalités. Les moyens pour l'éducation nationale sont d'ores et déjà connus pour 2018. Dans le premier degré, les 3800 postes créés sont absorbés par la poursuite de la mise en place des CP à 12 en zones d'éducation prioritaire, notamment au détriment du dispositif « plus de maîtres que de classes ». Ces créations sont financées par autant de suppressions dans le second degré et la filière administrative. Au total, pas de création de moyens pour l'ensemble du système éducatif. Pourtant, les besoins en personnels sont criants pour améliorer les conditions de réussite des élèves, particulièrement dans le contexte démographique que l'on connaît. Cette orientation budgétaire va continuer de dégrader les conditions d'apprentissage des élèves et de travail des personnels. Pour la FSU, le gouvernement esquive ce défi pourtant central d'une élévation générale du niveau de qualification et la nécessaire démocratisation
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Lettre électronique FSU du MEN novembre 2017

2019-06-17T16:15:07+02:002 décembre 2017|Catégories : Campagnes|Mots-clés : |

Fédération Syndicale Unitaire Avec la FSU, pour la Fonction publique, pour les personnels, pour le service public d'éducation, pour nos métiers Edito Engagé.es pour gagner la reconnaissance de nos métiers ! Alors que le dernier rapport annuel sur l’état de la Fonction publique pointe qu’en 2015, le décrochage entre les salaires du secteur public et ceux du secteur privé s’est poursuivi, nous étions en droit d'attendre une revalorisation salariale d'autant que nombre d'observateurs pointent régulièrement la faiblesse des salaires des enseignant.e.s en France par rapport à celles et ceux des autres pays de l'OCDE. Lire la suite Mauvais coup pour les salaires et les postes ! Le débat budgétaire pour 2018 est révélateur de l’orientation et des choix faits par le gouvernement. Il est lourd de conséquences pour les services publics et la situation qui va être faite aux personnels. Le gouvernement poursuit l’objectif d’une réduction drastique des dépenses publiques, affaiblissant les moyens d’assurer un service public de qualité et de proximité. Par ailleurs, il organise la diminution des recettes fiscales au profit des plus riches à travers la réforme de l’ISF ou de l’instauration de la « flat-tax » sur les dividendes á un taux moindre que l’impôt sur le revenu. Pour la FSU, cela remet en cause notre modèle social et accroît les inégalités. Lire la suite La FSU dans l’éducation nationale Neuf syndicats membres d'une même fédération La FSU compte, dans l'Éducation nationale, neuf syndicats correspondants aux différents métiers de l'éducation et qui rassemblent tous les personnels. En fonction de votre
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Engagé.es pour gagner la reconnaissance de nos métiers !

2019-06-17T16:15:07+02:002 décembre 2017|Catégories : Campagnes|Mots-clés : |

Alors que le dernier rapport annuel sur l'état de la Fonction publique pointe qu'en 2015, le décrochage entre les salaires du secteur public et ceux du secteur privé s'est poursuivi, nous étions en droit d'attendre une revalorisation salariale d'autant que nombre d'observateurs pointent régulièrement la faiblesse des salaires des enseignant.e.s en France par rapport à celles et ceux des autres pays de l'OCDE. Mais le gouvernement en a décidé autrement et ce malgré la forte journée d'action et de mobilisation unitaire de toute la Fonction publique le 10 octobre dernier. Nouveau gel de la valeur du point d'indice, rétablissement du jour de carence, compensation bien mince de la CSG et ... report d'un an des mesures PPCR ! Cette décision brutale de revenir sur cet accord salarial - que la FSU a signé - constitue une rupture de la parole de l'État qui ne figurait même pas au programme du candidat Emmanuel Macron. Pourtant, ce protocole de 2015 permet de réelles évolutions de carrière et de rémunération pour toutes et tous. Son report, additionné aux autres mesures et à une hausse des cotisations retraites, va détériorer le pouvoir d'achat des personnels. La FSU ne compte pas en rester là ! Elle considère que le chapitre salarial n'est pas clos ! Et la FSU poursuit avec détermination, sur ce sujet comme sur tous ceux que le Ministre met en chantier, son engagement pour que soient reconnus les métiers et les missions des enseignant.e.s comme de tous les personnels de l'Éducation nationale,
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Le lycée après les annonces du 30 octobre

2019-06-17T16:15:07+02:002 décembre 2017|Catégories : Campagnes|Mots-clés : |

Du lycée à l'entrée dans l'enseignement supérieur, le gouvernement entend réformer les parcours des jeunes, promouvant l'apprentissage pour les uns, la sélection à l'entrée à l'université pour les autres. La France est connue pour son déterminisme social en matière de réussite à l'école. Les mesures en discussion, si elles devaient être mises en œuvre, constitueraient un renoncement à élever le niveau de qualification du plus grand nombre, à rebours des besoins du pays. Ne fermons pas l'accès à l'université aux générations 2000 ! Avec le projet de loi Vidal qui encadre la mise en œuvre du #PlanEtudiants, le gouvernement veut généraliser la sélection pour l'accès à l'université dès la rentrée 2018. C'est un projet conservateur, inégalitaire, austéritaire, anxiogène et bureaucratique qui modifierait en profondeur les missions de l'Université. Le SNESUP-FSU combat ce projet de loi et en demande le retrait. Alors que nous devons accueillir 200 000 étudiants supplémentaires au cours des 5 prochaines années, le statu-quo n'est plus possible. Mais le gouvernement veut sortir de ce défi par le bas, par la sélection généralisée et le sous-investissement dans l'Enseignement supérieur et la recherche (ESR) alors que nous militons pour le relever et en sortir par le haut, par un investissement massif dans l'ESR et la création de places dans les formations à la hauteur des besoins. En effet, la Ministre annonce un investissement d'un milliard d'euros sur cinq ans là où il en faudrait dix ! La gestion des 7 000 000 de vœux des 700 000 lycéens en
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Réfléchir à une langue plus égalitaire

2019-06-17T16:53:30+02:001 décembre 2017|Catégories : Egalité femmes-hommes|

L'actualité est particulièrement marquée par la dénonciation des violences faites aux femmes et la FSU est fermement engagée pour les faire reculer. La langue peut aussi être vecteur d'inégalités et de dominations, notamment quand elle affirme que le masculin l'emporte sur le féminin invisibilisant la moitié de l'humanité ou qu'elle ramène les femmes au rang d'objet sexuel. La FSU, engagée depuis 2013 dans une démarche visant à des usages plus égalitaires, juge légitimes les réflexions autour de l'écriture inclusive visant à faire évoluer les usages dans un sens plus égalitaire et appelle à la poursuite de la réflexion dans ce domaine. Dans le cadre de l'enseignement de la langue, elle demande l'ouverture de discussions sur les questions soulevées par le manifeste «Nous n'enseignerons plus que le masculin l'emporte sur le féminin» et dénonce les attaques et les pressions que subissent les enseignant-e-s signataires de ce manifeste. La FSU rappelle que de nombreuses administrations, dont le ministère de l'Éducation nationale, avaient signé la convention d'engagement du HCE. La circulaire du Premier ministre pour bannir l'écriture inclusive entre en contradiction flagrante avec ces engagements. C'est un bien mauvais signe qu'envoie le gouvernement en matière de réduction des inégalités entre les femmes et les hommes. Un débat de société est ouvert sur cette question, il ne doit pas être clos autoritairement. Les réflexions autour de l'écriture inclusive visant à faire évoluer les usages dans un sens plus égalitaire sont légitimes. Notre langue est vivante, les pistes à explorer sont nombreuses, ses locuteurs et
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Réfléchir à une langue plus égalitaire

2019-06-17T16:53:30+02:0024 novembre 2017|Catégories : Egalité femmes-hommes|

L'actualité est particulièrement marquée par la dénonciation des violences faites aux femmes et la FSU est fermement engagée pour les faire reculer. La langue peut aussi être vecteur d'inégalités et de dominations, notamment quand elle affirme que le masculin l'emporte sur le féminin invisibilisant la moitié de l'humanité ou qu'elle ramène les femmes au rang d'objet sexuel. La FSU, engagée depuis 2013 dans une démarche visant à des usages plus égalitaires, juge légitimes les réflexions autour de l'écriture inclusive visant à faire évoluer les usages dans un sens plus égalitaire et appelle à la poursuite de la réflexion dans ce domaine. Dans le cadre de l'enseignement de la langue, elle demande l'ouverture de discussions sur les questions soulevées par le manifeste «Nous n'enseignerons plus que le masculin l'emporte sur le féminin» et dénonce les attaques et les pressions que subissent les enseignant-e-s signataires de ce manifeste. La FSU rappelle que de nombreuses administrations, dont le ministère de l'Éducation nationale, avaient signé la convention d'engagement du HCE. La circulaire du Premier ministre pour bannir l'écriture inclusive entre en contradiction flagrante avec ces engagements. C'est un bien mauvais signe qu'envoie le gouvernement en matière de réduction des inégalités entre les femmes et les hommes. Un débat de société est ouvert sur cette question, il ne doit pas être clos autoritairement. Les réflexions autour de l'écriture inclusive visant à faire évoluer les usages dans un sens plus égalitaire sont légitimes. Notre langue est vivante, les pistes à explorer sont nombreuses, ses locuteurs et
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