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État d’esprit des agent-es de la Fonction publique : un grand mécontentement !

2022-06-16T19:49:20+02:0030 janvier 2022|Catégories : Communiqués|

La FSU dévoilera lundi après-midi, en ouverture de son congrès, un sondage réalisé par l'institut IPSOS, à partir d'un échantillon très représentatif de 1 500 personnes, dont 507 fonctionnaires territoriaux, très peu sondés d'ordinaire. Fédération syndicale des fonctionnaires regroupant des agent-es titulaires et contractuel-les de la Fonction publique de l’Etat et de la Territoriale, la FSU a souhaité interroger leurs aspirations, confirmer ses analyses de terrain, et mettre en lumière le bilan qu’elles et ils tirent du quinquennat d'Emmanuel Macron. Le résultat est sans appel : déclassement salarial, perte de sens du métier en raison des réformes et de la dégradation des conditions de travail, discours publics stigmatisants… Les fonctionnaires sont en première ligne dans la crise sanitaire, dans la santé, à l’école, dans la Fonction publique territoriale, ce sont eux qui font tenir la société depuis près de deux ans. Combien de temps vont-ils encore tenir ? Dans une année marquée par d’importantes échéances électorales, la crise que semble traverser la Fonction publique doit être traitée sérieusement par les candidats. Dès maintenant, nous vous communiquons le diaporama d'IPSOS et une analyse plus détaillée, en précisant qu'il est sous embargo jusqu’à lundi 17 h. Sans réelle surprise, mais avec force de confirmation des analyses et expressions des organisations syndicales peu écoutées lors du quinquennat, un grand mécontentement en ressort : D’une part à propos des effets de la loi de transformation de la fonction publique : 77 % considèrent qu’il est problématique que les représentant-es élu-es des personnels n’aient plus autant d’informations sur
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Le gouvernement doit répondre : préparons une grève massive jeudi 27 janvier !

2022-03-22T09:30:39+01:0021 janvier 2022|Catégories : Communiqués|

La journée de grève et de manifestation du 13 janvier a bousculé le gouvernement. Celle-ci a contraint le premier ministre à recevoir les organisations syndicales et la FCPE, à faire de premières annonces et à entamer des discussions avec les organisations syndicales. Pour autant les réponses ne sont pas à la hauteur de la colère qui s’est exprimée. En outre, le refus de dialogue avec les organisations syndicales lycéennes est incompréhensible et les discussions avec le CNVL insuffisantes et précipitées. Aucun engagement chiffré sur le recrutement sur liste complémentaire, cantonné au 1er degré ! Amplification du recours aux emplois précaires ! Rien sur les salaires ! Distributions insuffisantes de protections aux personnels, en nombre comme en termes de calendrier ! La semaine suivant le 13 janvier les parents d’élèves et les lycéens avec leurs organisations, ont poursuivi la mobilisation sous des formes diverses (grèves, rassemblements, assemblées générales). Nos organisations appellent les personnels à lister les besoins dans les écoles, les établissements et les services et à discuter des suites de la mobilisation. Elles appellent les personnels de l’Education Nationale à être massivement en grève jeudi 27 janvier, dans le cadre de la journée de grève interprofessionnelle, aux côtés des salariés du privé et des autres agents du public, confrontés eux aussi aux mesures d’austérité du gouvernement et du patronat. Nous revendiquons : Une augmentation immédiate des salaires, notamment par l’augmentation significative de la valeur du point d’indice ! Un recrutement immédiat et à hauteur des besoins de personnels sous
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Lycéens violentés et méprisés : Castex et Blanquer responsables

2022-03-22T09:29:50+01:0019 janvier 2022|Catégories : Communiqués|

Le 12 janvier, les organisations de la communauté éducative ont demandé à être toutes reçues par le Premier Ministre. Jeudi dernier, à la suite d’une mobilisation exceptionnelle de tous les acteurs de l'éducation, les ministres Castex, Blanquer et Véran ont fini par  accueillir la délégation, mais ont refusé catégoriquement de laisser entrer les représentants lycéens (MNL et LVL). Alors, la FCPE a proposé aux ministres d’accorder l’une de leurs places aux lycéens. Ceux-ci ont délibérément refusé.La mobilisation lycéenne a été, en ce début de mouvement, massive avec plus d’une centaine d’établissements bloqués ou très sérieusement perturbés à travers la France. Lors de cette mobilisation, de nombreux lycéens ont été violentés par les forces de l'ordre ; nous avons même vu des élèves se faire gazer, et même taser à Paris ! Le mépris du ministre s’est déjà exprimé en diverses occasions depuis le début de la crise sanitaire : en 2020, c’est dans les dernières semaines précédant l’oral de l’EAF que la décision d’annulation a été prise, laissant les élèves de 1ère dans une situation d’incertitude et de stress. L’an dernier, les annonces relatives à l’épreuve de philosophie sont aussi arrivées tardivement. L’organisation des oraux de rattrapage en BTS est restée floue jusqu’à la dernière minute. Toutes ces décisions font bien peu de cas du quotidien très difficile des lycéennes et lycéens en temps de pandémie. De plus, les organisations syndicales lycéennes n’ont jamais été consultées par le ministre. Les libertés syndicales doivent être respectées. Aujourd’hui, Jean-Michel Blanquer réitère
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Manifestation du 20 janvier 2022 en Ile de France interdite : la FSU proteste

2022-01-18T18:19:15+01:0018 janvier 2022|Catégories : Communiqués|

La FSU vient d’apprendre que la préfecture de police de Paris a interdit la manifestation régionale prévue le 20 janvier à Paris, organisée par une intersyndicale éducation réunissant la CGT educ’action, la FNEC-FP-FO, la FSU, SUD éducation, la FCPE, et La voix lycéenne. Après une manifestation réussie, le 13 janvier, la préfecture de police interdit l’expression des revendications des personnels à la suite des annonces faites par le premier ministre. Annonces qui ne sont pas suffisantes après le chaos engendré par la gestion de la crise sanitaire par le ministère de l’Education nationale. La FSU proteste vivement et exige que l’interdiction de manifestation soit levée.

Poursuivons la mobilisation dès la semaine prochaine ! Toutes et tous dans l’action le 20 janvier et préparons une grève massive le 27 janvier

2022-03-22T09:25:19+01:0016 janvier 2022|Catégories : Communiqués|Mots-clés : |

Le jeudi 13 janvier a été une journée de grève d’une ampleur exceptionnelle. Les annonces faites par le premier ministre et le ministre de l’Éducation nationale ne sont pas suffisantes.Néanmoins, elles ont montré que la grève des personnels et de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative a un impact fort, et que nous pouvons obtenir satisfaction sur nos revendications. La situation est intenable dans l’Éducation nationale. Le chaos engendré par la gestion de la crise sanitaire mérite des réponses fortes, au-delà des engagements pris par le Premier ministre et le ministre de l’Éducation nationale. Il faut immédiatement reporter les épreuves de spécialités de mars et les organiser plus tard sur la base des programmes prévus pour des épreuves en mars, annuler les évaluations de mi-CP, créer tous les postes nécessaires pour assurer les remplacements, au-delà du recours aux listes complémentaires dans le premier degré annoncées, et doter les écoles et établissements en matériel de protection en nombre suffisant, bien au-delà des volumes annoncés et y compris pour les élèves. Personnels, élèves et parents ont besoin de stabilité, pour travailler et étudier dans un environnement serein et sécurisé. Au-delà, l’école a un besoin urgent d’investissement. Il faut un collectif budgétaire pour permettre des recrutements massifs et réduire les effectifs dans les classes. Il faut augmenter les salaires des personnels, au-delà des annonces du Grenelle de l’Éducation, dans le cadre du dégel du point d’indice et d’augmentations indiciaires. . Il faut répondre aux revendications des AED et AESH, en première ligne face
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Après cette journée historique, la FSU exige des mesures sanitaires immédiates et l’ouverture très rapide de discussions sur les moyens et les salaires

2022-03-22T09:24:47+01:0013 janvier 2022|Catégories : Communiqués|Mots-clés : |

Cette journée de grève dans l’éducation est historique avec 75% de grévistes dans les écoles dont la moitié sont ainsi restées fermées, 62% dans les collèges et lycées généraux et technologiques et plus de 50% dans les lycées professionnels. Les nombreuses manifestations sur le territoire ont rassemblé l’ensemble des personnels, les enseignant-es bien sûr mais également les AESH, les infirmières, les CPE, les agents administratifs, les personnels territoriaux des écoles, les psychologues scolaires, les AED, les personnels sociaux… et aussi les corps d’inspection et chefs d'établissements dans une mobilisation soutenue également par les parents d’élèves et les organisations de jeunesse. Les exigences sur le sanitaire sont fortes et doivent être entendues mais elles débordent largement ce cadre. Les revendications sur l’urgence des moyens humains donc du recrutement et celles sur les salaires ont été largement portées dans les mobilisations.  C’est pourquoi la FSU exige du gouvernement l’ouverture au plus vite de négociations pour répondre aux revendications des personnels portées tout au long de cette journée de grève. Le gouvernement doit ainsi répondre à l’urgence de protéger la santé de l’ensemble des personnels, des élèves et des familles, en appuyant ces décisions sur les connaissances scientifiques et sur le dialogue social, en particulier en équipant les personnels et les locaux (masques chirurgicaux et FFP2, autotests, capteurs de CO2…). Un collectif budgétaire doit être très vite adopté pour recruter les personnels nécessaires pour répondre notamment aux besoins de remplacement. L’intersyndicale est reçue ce soir par le Premier Ministre, le Ministre de
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AESH : amplifions et massifions la mobilisation pour gagner !

2022-03-22T09:12:57+01:0022 décembre 2021|Catégories : Communiqués|

La mobilisation des personnels AESH du 19 octobre a été un succès incontestable, démontrant que la colère s’amplifie. Cette journée d’action, largement relayée dans les média, a rassemblé des cortèges imposants partout en France ce qui traduit bel et bien que leur niveau de mobilisation ne faiblit pas. Parce que ces personnels aspirent à exercer leur métier dans des conditions dignes et parce que le ministre reste sourd à leurs revendications, l’intersyndicale FSU, FO, CGT Éduc’action, SUD Éducation et SNCL appelle de nouveau les personnels AESH à une journée d’action le jeudi 27 janvier 2022.

Salaires : le 27 janvier, l’heure est désormais à la mobilisation de toutes et tous !

2021-12-21T08:29:53+01:0021 décembre 2021|Catégories : Communiqués|

Personne ne peut ignorer le contexte social et économique, les augmentations des produits de première nécessité, de l’énergie comme de l’alimentation et, finalement, du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, demandeurs d’emploi et retraités. Personne n’ignore que seuls les salaires, les pensions et les aides et allocations continuent de stagner ou même de baisser au regard de l’inflation, de décrocher par rapport aux qualifications, dans le privé comme dans le public. Si, dans certains secteurs et entreprises, des mobilisations et des négociations ont permis d’obtenir des revalorisations de salaires, trop souvent encore les négociations sont au point mort ou les propositions des employeurs loin du compte. Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL ne peuvent s’en satisfaire et n’entendent pas en rester là ! Sans augmentation du point d’indice et du Smic, il n’y aura aucune avancée pour les salarié.e.s dont les mínima de branche sont actuellement en dessous du salaire de base minimum. Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL contestent, dans le même temps, que le gouvernement ait maintenu sa réforme de l’assurance chômage qui aura pour conséquence d’enfermer de trop nombreux salariés dans des emplois à faible salaire, à temps partiel ou en CDD. Les retraité.e.s, très massivement mobilisé.e.s, attendent toujours une réponse pour une augmentation immédiate de leur pension, retraite de base et retraite complémentaire, dont la dernière revalorisation a été plafonnée à un niveau très inférieur à l’inflation. La jeunesse, confrontée à
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