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La FSU dénonce la suppression de l’Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement

2019-11-28T22:48:09+01:0028 novembre 2019|Catégories : Communiqués|

Le ministère de l’Éducation nationale a annoncé le 15 novembre 2019, sa décision de supprimer l’Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement. Selon le ministre, qui a reçu son président Jean Marie SCHLERET, l’intérêt et l’action de cet observatoire indépendant ne seraient pas remis en question (rapports annuels, guides, fiches de prévention, enquêtes et analyses...). Il s’agirait d’une commande des services du premier ministre qui a décidé de supprimer les commissions de cet observatoire au prétexte des faibles effectifs en agents publics qui les composent ! Dans le contexte actuel  de l’ incendie d’une usine classée « Seveso » à Rouen, de la pollution au plomb autour de la cathédrale Notre-Dame, des problèmes liés à la présence d’amiante dans de très nombreux établissements scolaires, de l'importance des procédures de sécurité dans les ateliers dans la voie professionnelle et technologique, de la sécurité des installations sportives sans compter la montée des risques majeurs de causes naturelles liées au dérèglement climatique - la suppression de cet observatoire est irresponsable. Cet observatoire réalise un travail essentiel pour mettre en évidence les progrès mais aussi les retards en matière d'accessibilité des locaux et équipements d'enseignement utilisés par les personnes en situation de handicap. Les activités d’un organisme indépendant et collégial sont indispensables au progrès des politiques de préventions des risques, de diffusion de la culture du risque et de mise en œuvre de l'accessibilité. C’est pourquoi la FSU demande que la décision de faire disparaître l’observatoire soit reconsidérée, elle est
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5 décembre : en grève…

2019-12-07T11:58:26+01:0028 novembre 2019|Catégories : Tribunes|

Alors que se met en place la réforme de la Fonction publique, d’autres dans l’Éducation ou encore à la Justice, que le malaise social est déjà profond et les inquiétudes face à l’avenir si grandes, voici que se profile la réforme des retraites synonyme de baisse des pensions et de perte d’un système construit sur les solidarités. Il s’agit non seulement de combattre ces réformes mais également pour construire, avec les personnels et dans une unité la plus large possible, des propositions alternatives. Car jamais peut être, il n’aura été aussi vital de donner sens aux mots d’égalité, justice, dignité, solidarité, démocratie... Le 5 décembre marque un point de départ important de la mobilisation contre le projet de réforme des retraites. Le 5, massivement, il faut dire que cette réforme n’est pas acceptable et faire entendre au gouvernement la nécessité d’améliorer le niveau des pensions et de mettre en place de nouveaux droits pour que toutes et tous puissent vivre dignement à la retraite ! Toutes et tous en grève et dans les mobilisations le 5 !

Le 5 décembre avec la FSU engagé.es dans la grève et les manifestations !

2021-02-18T14:51:10+01:0026 novembre 2019|Catégories : Expression de la FSU pour l'Education|Mots-clés : |

La réforme des retraites projetée par le gouvernement est très défavorable à toutes et tous, en particulier celles et ceux de notre secteur, notamment en raison de la fin du calcul des pensions sur le traitement des 6 derniers mois. Le calcul sur l’ensemble de la carrière provoquerait une baisse catastrophique du niveau des pensions. Le président de la République reconnait que les enseignant-es et les infirmier-es seraient les grand-es perdant-es et qu’il y a nécessité de les revaloriser mais il n’y a toujours rien sur la table hormis des compensations via un « effet primes » qui sont autant de provocations (mérite, travail durant les vacances…). La FSU exige une revalorisation de toutes les professions de l’Education Nationale qui ne doit pas se limiter à endiguer les dégâts annoncés de la réforme des retraites. C’est pourquoi la FSU appelle, avec d’autres organisations syndicales, à la grève le 5 décembre prochain. Cette grève s’annonce massive et il est encore temps de décider d’y participer si vous n’êtes pas encore convaincu. Ce n’est pas une journée de défense de pseudo avantages ou privilèges mais celle de notre modèle social.  Ensemble dans la grève et dans les manifestations contre cette réforme des retraites et exiger la hausse des salaires et des pensions pour toutes et tous les agent-es et de réelles négociations pour une réforme des retraites qui intègre de nouveaux droits et améliore le système actuel.

Compte rendu du Groupe de travail sur la réorganisation des services de l’État – DGAFP – 19 novembre 2019

2022-03-22T16:14:36+01:0020 novembre 2019|Catégories : Compte rendus d'instances|

Pour la FSU : Daniel Gascard et Jean-Luc Girard Introduction du président de séance Thierry LE GOFF : c’est une réunion d’échange sur l’évolution des réformes. Réunion précédente le 4 octobre, prochaine réunion 16 décembre à 14h30. Le préfet Espinasse présente l’avancement de la création des secrétariats généraux communs (SGC). Recherche d’une lisibilité des fonctions support avec programme budgétaire unique (fusion 307-333). Un document de cadrage des déclinaisons locales est en cours d’élaboration en application de la circulaire du 2 août. Points importants de la démarche : l’interministériel est essentiel avec la recherche d’un service de qualité, la gouvernance sera collégiale sous l’autorité du préfet de département avec les directeurs des services départementaux (DDI) voire des services régionaux et des opérateurs de l’État ; cela intègre aussi le pilotage de missions métiers, l’autorité fonctionnelle des directeurs sur le SGC est affirmée (ressources humaines, promotions, services généraux…). Les préfigurateurs ont eu une lettre de mission et ont été réunis en séminaire début octobre et le seront à nouveau quatre fois. Un prestataire vient en soutien. Il s’agit de définir le service rendu avec formalisation d’une charte d’engagement (contrat de service), la définition de la gouvernance et les missions obligatoires (Budget, RH, SI) et optionnelles (Communication, Juridique-contentieux), puis dans un deuxième temps les fiches de postes pour positionnement des agents et organisation du SGC. Le positionnement des agents sera formalisé par écrit, avec les aspects statutaires avec adaptation du positionnement (contractuels…). Il est rappelé que le transfert au SGC se fera uniquement sur la base du
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Journée internationale contre les violences faites aux femmes: La FSU exige des moyens ambitieux !

2019-12-02T16:44:22+01:0019 novembre 2019|Catégories : Communiqués|

Les violences faites aux femmes sont l'une des violations des droits humains les plus répandues dans le monde. Selon la Banque mondiale, pour les femmes de 15 à 44 ans, les viols et violences conjugales présentent un risque de mortalité plus grand que le cancer, les accidents de la route et le paludisme réunis. Plus d'un milliard de femmes dans le monde, soit une femme sur trois, sont victimes de coups, de viols, d'abus sexuels, 125 millions de filles et de femmes subissent des mutilations génitales et 1,3 millions sont victimes d'exploitation sexuelle. Cette journée internationale est l’occasion de faire un bilan de ce fléau mais aussi de rendre visible les nombreuses résistances et les luttes qui s'organisent dans le monde. La solidarité internationale en faveur des femmes et des peuples qui luttent pour l'émancipation des filles et des femmes est un levier important pour les victoires obtenues et à venir. Les chiffres sur les féminicides en France comme ceux sur les violences faites aux femmes au travail et ailleurs impliquent que nous devons continuer à activer tous les leviers et renforcer nos actions pour éradiquer ces atrocités. La FSU soutient la demande des organisations féministes qui réclame un milliard d'euros dédié et dénonce le manque d'ambition et la communication politique du gouvernement sur une prétendue augmentation du budget. Le budget à l'égalité femmes/hommes a baissé de 25 000 euros et le milliard annoncé par M. Schiappa correspond aux investissements en politiques transversales dont 70% sont
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Revalorisation des salaires, aucune annonce du ministère

2021-02-18T14:51:04+01:0013 novembre 2019|Catégories : Expression de la FSU pour l'Education|Mots-clés : |

Les salaires des enseignant.es ont fait l’objet d’une seconde réunion au ministère de l’Education nationale, le 7 novembre dernier, après celle qui avait réuni ministère, haut-commissariat à la réforme des retraites et organisations syndicales en octobre. Celles-ci attendaient des mesures concrètes de revalorisation.  Aucune annonce n’a été faite. Concernant les personnels administratifs, techniques, sociaux et de santé : rien non plus à l'ordre du jour alors que leurs indemnités sont inférieures à celles des autres ministères. Et pour toutes et tous, la valeur du point d'indice reste gelée. A plusieurs reprises, le ministre de l’Education nationale mais aussi le Premier Ministre et le Président de la République ont déclaré que la réforme des retraites devait être l’occasion d’une revalorisation des enseignant.es. Le gouvernement, s’agissant justement des enseignant.es, se dit conscient de la perte qu’ils et elles subiraient dans le cadre du projet de réforme (de 300 à 800 euros selon les estimations). A grand renfort de déclarations médiatiques, ils s’apitoient sur notre sort.  Ça c’est pour l’opinion publique. En coulisses on nous explique qu’il faut des contreparties, que la retraite des enseignant.es « ce n’est pas un problème de salaire mais d’indemnités ». Ainsi, le Ministre de l’Education Nationale veut subordonner une hypothétique revalorisation salariale des enseignant.es à une nouvelle définition de leur métier, de leur temps de travail, de leurs missions… En clair, travailler plus pour gagner plus, on connait la mélodie ! La réunion du 7 novembre a surtout été occupée par la présentation, par les services
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Déclaration liminaire FSU au CTM du 5 novembre 2019

2021-09-04T12:05:12+02:0011 novembre 2019|Catégories : Les élu-es de la FSU à l'Education|Mots-clés : |

Ce comité technique ministériel est convoqué la veille d’une journée de mobilisation appelée par la FSU, l’UNSA-Education, le SGEN-CFDT, la FERC-CGT et SUD-Education pour dénoncer avec force la dégradation des conditions de travail des personnels dans l’éducation nationale aggravant les situations de souffrance , pouvant conduire parfois à des actes suicidaires. La FSU exige des mesures urgentes et concrètes : une réelle amélioration des conditions de travail de tous les personnels dans les écoles, les établissements et les services ; une reconnaissance en actes de leurs professionnalités ; des mesures concrètes pour garantir la santé, la sécurité, le bien-être au travail et développer une véritable médecine de prévention ; une organisation moins verticale et moins injonctive quant au quotidien vécu par les personnels dans les écoles, les établissements et les services ; une organisation plus collective du travail et des rythmes plus respectueux de la qualité de vie au travail ; des moyens utiles, indispensables au bon fonctionnement des écoles, des établissements et des services, et les créations d’emplois nécessaires dans tous les métiers ; Une véritable revalorisation salariale et des carrières à la hauteur. Dan ce contexte dramatique, il est inique que la loi dite de « transformation de la fonction publique » du 6 août 2019 prévoit la disparition pure et simple des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail. Ce sont pourtant les instances qui traitent des difficultés concrètes vécues par les personnels, où sont possibles les confrontation et analyse des causes et la mise en œuvre de mesures pour y répondre. A
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Déclaration liminaire FSU au CHSCTM extraordinaire du 6 novembre 2019

2021-02-18T14:50:41+01:0011 novembre 2019|Catégories : Les élu-es de la FSU à l'Education|Mots-clés : |

C’est avec gravité, colère et responsabilité que nous avons demandé cette réunion extraordinaire du CHSCTM. La gravité et la colère, nous les partageons avec tous les personnels aujourd’hui mobilisés, ici, devant le ministère, mais également dans de nombreux départements. Nous les partageons avec l’ensemble des personnels qui sont empêchés dans leur travail, dans leurs missions et qui réclament le respect. La gravité et la colère, nous les partageons avec nos camarades représentant•es des personnels en CHSCT, qui ont déjà ou qui vont être amené•es à enquêter sur des suicides. Notre responsabilité de représentant•e des personnels, nous l’assumons collectivement à chaque fois que nous alertons en CHSCT, à chaque fois que nous portons leur parole. Et de la responsabilité de notre employeur, nous attendons et nous exigeons qu’elle soit enfin à la hauteur des attentes et des besoins des agent•es de notre ministère, qu’elle soit enfin à la hauteur de ses obligations légales et réglementaires. Le travail ne doit pas porter atteinte à la santé. Personne n’a le droit, par ses agissements, ses décisions ou ses manquements de porter atteinte à la santé d’autrui, pas même un employeur envers ses salarié•es ou ses agent•es. Cette demande de réunion extraordinaire, nous l’avons formulée à la suite du suicide de Christine Renon. Contrairement à ce que pourraient laisser entrevoir les remontées ministérielles, cet acte est loin d’être isolé. Nous l’avons formulée parce que Christine Renon nous a laissé un témoignage édifiant, qui a marqué toute la profession et qui la marquera encore
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