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Solidarité avec les habitants de Mayotte

2024-12-17T20:42:22+01:0017 décembre 2024|Catégories : Communiqués|

Mayotte a été frappée durement par le cyclone Chido samedi 14 décembre. La situation est dramatique : bidonvilles entièrement soufflés, bâtiments en dur en partie détruits, plus d’eau ni d’électricité, hôpital durement touché, routes impraticables. Le bilan humain est terrible avec déjà quelques dizaines de morts recensés et ce bilan devrait être beaucoup plus lourd encore. La FSU exprime sa solidarité avec Mayotte et apporte tout son soutien à l’ensemble de ses habitants. La FSU se mobilise avec Solidarité laïque pour engager une aide rapide aux Mahorais. La FSU exige que l’État assume immédiatement toutes ses responsabilités dans les opérations d’acheminement de nourriture, de remise en l’état des réseaux d’eau, d’électricité, de prise en charge des blessés. Chaque minute compte et l’éloignement géographique entre Paris et Mayotte ne peut être prétexte à des atermoiements coupables de la part des autorités. La FSU attend des pouvoirs publics que ceux-ci soutiennent et accompagnent les personnels de la fonction publique dans l'exercice de leurs missions essentielles d'intérêt général, de protection de la population et de restauration de ses conditions d'existence. La FSU sera  particulièrement attentive à ce que les agent·es de la Fonction publique ne soient pas laissés seul·es face à l’immense défi de la reconstruction de Mayotte. Dans ces îles, désormais aux paysages de fin du monde, tout est en effet à reconstruire. Cela va nécessiter des investissements conséquents de la part de l’État. Les services publics, centrés sur les besoins de la population, doivent être renforcés et pérennisés. En effet, Mayotte
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CSA Ministériel du 13/12/2004

2024-12-13T09:00:11+01:0013 décembre 2024|Catégories : Education / recherche, Rémunérations, Retraites|

Pourquoi nous ne siégeons pas ce vendredi 13 décembre 2024 ? Communiqué de Presse Boycott du CSA ministériel du 13 décembre Nos organisations syndicales FSU, CGT Educ’action, Sud Éducation ne siégeront pas au CSA MEN programmé le 13 décembre à 9h30. Celui-ci se tient dans un contexte politique où pour la deuxième fois en moins d’un an, un gouvernement démissionnaire est en charge des affaires courantes. Nos organisations syndicales ont également appelé à une semaine d’actions et de mobilisations, avec une journée de mobilisation nationale le 12 décembre. Nos professions ont montré leur détermination contre les gouvernements successifs qui détruisent nos métiers et dégradent nos conditions de travail. Les mesures Kasbarian étaient emblématiques du profond mépris du gouvernement pour la Fonction publique. Alors que les questions salariales sont centrales, aucune mesure n’est prise pour l’augmentation des salaires, bien au contraire comme en témoignent le gel du point d’indice ou encore la suppression de la GIPA. Le CSA de ce jour qui traite de questions liées aux carrières ne tient absolument pas compte des revendications des personnels représentés par nos organisations syndicales, alors que la carrière est un facteur d’attractivité important. Les questions de traitement des ressources humaines sont très politiques et traduisent la volonté ou non de défendre et valoriser les professions. Les métiers de l’Éducation nationale ne sont pas une priorité, le traitement de dossiers comme les LDG carrières ou le Plan National d’Action (PNA) égalité professionnelle sans ministre en exercice nous parait déconnecté
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Née-s ici ou venue-s d’ailleurs, l’égalité des droits, c’est pour toutes et tous !

2024-12-11T16:00:10+01:0011 décembre 2024|Catégories : Droits et libertés|

APPEL À MOBILISATION : Manifestations le 14 décembre 2024, partout en France et à Paris, place de Clichy à 14h Meeting le 18 décembre 2024, à 18h30, à la Bourse du travail, 29 boulevard du Temple 75011 Paris – salle Henaff Nous ne voulons pas d’une société raciste. Nous voulons pour nos voisin-e-s, collègues de bureau, d’atelier, nos camarades d’amphi, pour notre médecin, notre boulanger-e, pour la copine ou le copain de classe de nos filles, de nos garçons… une réelle égalité des droits. Nous vivons ensemble, et ne concevons pas la société autrement que dans le respect de ce qui nous lie. La fraternité est aux côtés de la liberté et de l’égalité sur le fronton de nos édifices publics. Ces grands principes doivent se traduire par l’accès effectif à tous les droits, pour toutes et tous ; par l’accueil et la valorisation de la diversité qui fait la richesse de notre pays, de tout pays ; par le développement des solidarités pour et avec celles et ceux qui en ont besoin. Travailleuses et travailleurs étrangers, personnes exilées, étudiantes et étudiants internationaux… qu’ils et elles soient arrivés hier ou il y a 20 ans, toutes et tous se retrouvent la cible de politiques migratoires qui voient en l’étranger un criminel en puissance, un « indésirable ». La loi immigration de janvier 2024 et le Pacte Asile & Immigration de l’Union européenne ont encore radicalisé des politiques répressives et brutales, généralisant la maltraitance administrative. Les politiques publiques sont aujourd’hui dévoyées et utilisées comme des
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Groupes de niveau : le ministère passe en force malgré l’annulation du Conseil d’État

2024-12-06T08:54:16+01:006 décembre 2024|Catégories : Communiqués, Expression de la FSU pour l'Education, Les élu-es de la FSU à l'Education|

Le 28 novembre, le Conseil d’État annulait l’arrêté du 15 mars 2024 portant sur l’organisation des enseignements de mathématiques et français en Sixième et Cinquième par groupe de niveau. Répondant à plusieurs recours, il a donc donné raison aux organisations syndicales et à la FCPE qui contestent depuis un an maintenant avec une majorité de personnels et de parents d’élèves cette réforme inégalitaire. Le Conseil d’État a considéré que la ministre de l’Éducation nationale n’avait pas compétence pour fixer ou modifier l’organisation des enseignements, qui relève des prérogatives du Premier ministre. Le ministère s’entête pourtant car quelques heures après la décision des juges, il a adressé aux membres de Conseil supérieur de l’Éducation, de nouveaux textes pour la séance des 11 et 12 décembre. Un décret, très court, du Premier ministre prévoit une délégation de compétences à la ministre pour organiser les enseignements. Un nouvel arrêté réaffirme les groupes de niveau en Sixième et Cinquième et fixe les modalités de leur extension en Quatrième et Troisième. Les organisations FSU, UNSA, FO, CFDT, CGT, SNALC, SUD et FCPE dénoncent ce passage en force du ministère. D’une part, le ministère ne tient aucun compte de la décision argumentée des juges : il s’expose donc à de nouveaux recours en Conseil d’État pour faire annuler le décret s’il devait être publié. Il est inacceptable que le ministère agisse de manière aussi inconséquente sur un sujet qui engage les apprentissages des élèves et la préparation de rentrée 2025. D’autre part, la démission du gouvernement
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Enseignement de la vie affective, relationnelle et sexuelle : ne rien céder aux réactionnaires et à l’extrême droite

2024-12-03T13:11:31+01:003 décembre 2024|Catégories : Communiqués|

Depuis quelques mois des associations et des collectifs de parents se revendiquant plus ou moins ouvertement de l’extrême droite (Parents Vigilants, Parents en colère, syndicat la Famille, SOS Éducation, etc.) mènent campagne contre le projet de programme d’enseignement de la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS) : tracts mensongers distribués aux parents d’élèves, menaces contre les personnels, rassemblements devant des rectorats. Elles remettent en cause ouvertement l’obligation de la mise en œuvre de cette éducation à l’école, l’intérêt de celle-ci et le programme en cours de publication sur la base de mensonges et d’une vision rétrograde de l'École et de la famille. Depuis, ces critiques réactionnaires ont trouvé un écho médiatique, par le relais des médias de Vincent Bolloré, mais aussi politique, notamment par les déclarations d’Alexandre Portier, ministre délégué à la Réussite scolaire et à l’Enseignement professionnel. Ce dernier a repris les fake news des milieux conservateurs, relayant la supposée existence d’une « théorie du genre » pour décrédibiliser l’ambition du programme d’EVARS. L’enseignement catholique privé a aussi émis de grandes réserves, demandant que le texte soit « profondément remanié », remettant en question la légitimité de l’Éducation nationale de dispenser un enseignement de la vie affective, relationnelle et sexuelle. La FSU dénonce une diabolisation artificielle et des propos mensongers qui viennent affaiblir la légitimité de ce programme. Or, ce dernier est indispensable : il y a urgence à ce que l’éducation à la vie sexuelle et affective soit effective dans les écoles, collèges et lycées, tout comme les
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AESH : FACE AU MÉPRIS ET AUX ATTAQUES, EN GRÈVE LE 5 DÉCEMBRE !

2024-11-28T10:47:49+01:0028 novembre 2024|Catégories : AESH|

Les personnels AESH, deuxième corps de métier de l’Éducation nationale, se mobilisent depuis des années pour dénoncer le mépris qu’elles et eux subissent. Nos organisations syndicales ne cessent d’alerter sur l'impact des décisions gouvernementales qui dégradent leurs conditions de travail. Par ailleurs, les nouvelles attaques à l’encontre de la fonction publique auront des conséquences majeures pour ces personnels déjà fragilisés quotidiennement. Il y a urgence à agir !      

Communiqué – Journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes : Mobilisation mondiale le 25 novembre

2024-11-13T17:04:19+01:0013 novembre 2024|Catégories : Communiqués|

À l'occasion du 25 novembre, Journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes, la FSU aux cotés des organisations, syndicale féministe et politique se mobilise pour dresser un état des lieux de la situation des femmes et des filles à travers le monde. Cette journée permet aussi de rappeler nos revendications historiques pour la paix, l’égalité, la justice et la démocratie – conditions indispensables pour conquérir de nouveaux droits. Lorsque les droits des femmes progressent, c'est toute la société qui en bénéficie. Un constat mondial accablant Dans un contexte de multiplication des conflits armés, les femmes et les filles sont particulièrement vulnérables. Le viol, utilisé comme arme de guerre, et l'accès restreint aux soins et à l'éducation dans les zones de guerre compromettent gravement leur émancipation. La FSU se tient et se tiendra toujours résolument aux côtés de celles et ceux qui luttent pour une paix juste et durable dans le monde. Cette année, marquée par de nombreux conflits, nous exprimons notre solidarité internationale avec les femmes palestiniennes, massivement victimes des attaques meurtrières et de la privation de leurs droits les plus élémentaires organisées par le gouvernement d'extrême droite de B. Netanyahu, ainsi qu’avec les femmes israéliennes qui luttent contre cette guerre ignoble. Nous soutenons également les femmes ukrainiennes, touchées par une guerre d'occupation, ainsi que les femmes russes qui s'opposent à ce conflit. Notre solidarité s'étend évidemment aux femmes afghanes, privées de leurs droits fondamentaux sous un régime extrémiste religieux. Plus largement, notre
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Tribune : Pour Guillaume Kasbarian, nous sommes coupables d’être malades, femmes et fonctionnaires !

2024-11-12T13:20:02+01:0012 novembre 2024|Catégories : Egalité femmes-hommes, Non classé|

Liste des signataires : Clémentine AUTAIN, députée APRES Ana AZARIA, présidente Femme Egalité Sophie BINET, secrétaire générale de la CGT Soumya BOUARAHA, députée PCF Lucie CASTETS Cyrielle CHATELAIN, députée Les Ecologistes Caroline CHEVÉ, secrétaire départementale FSU 13 Guislaine DAVID, co-secrétaire générale de la FSU-SNUIPP Ingrid DAROMAN, Fondation Copernic Julie FERRUA, co-déléguée générale de l’Union syndicale Solidaires Sigrid GERARDIN, co-responsable secteur droits des femmes FSU Murielle GUILBERT, co-déléguée générale de l’Union syndicale Solidaires Fatiha KELOUA HACHI, députée PS Aliénor LAURENT, co-présidente Osez le Féminisme Ursula LEMEN, co-présidente Osez le Féminisme Gaëlle MARTINEZ, déléguée générale de Solidaires Fonction Publique Myriam LEBRIKI, secrétaire confédérale CGT commission femme mixité Anne LECLERC, porte-parole Collectif national pour le droit des femmes Dominique PATUREL, Fondation Copernic Alice PICHARD, porte-parole ATTAC Natasha POMMET, secrétaire générale de la fédération CGT des services publics Laurence ROSSIGNOL, sénatrice PS Suzy ROTHMAN, porte-parole Collectif national pour le droits des femmes Danielle SIMONNET, députée APRES Mireille STIVALA, secrétaire générale CGT de la santé et de l'action sociale Sophie TAILLE-POLIAN, députée Génération.s Marine TONDELIER, secrétaire nationale des Ecologistes Aurélie TROUVÉ, députée LFI Maud VALEGEAS, co-secrétaire fédérale de SUD Education Sophie VÉNÉTITAY, secrétaire générale du SNES-FSU Youlie YAMAMOTO, porte parole ATTAC  

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