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Mesures coronavirus

2020-03-18T12:49:22+01:0012 mars 2020|Catégories : Événements|

Mise à jour le 12/03/2020 ; Cette page sera régulièrement mise à jour en fonction de l’évolution de la situation. Le Président de la république a annoncé un certain nombre de mesures pour endiguer la propagation du coronavirus et en particulier, la fermeture des écoles, établissements scolaires, universités et crèches à compter de lundi.  La FSU  demandait  que toutes les dispositions soient prises pour protéger les usagers et les agent-es. C'est donc une mesure de bon sens qui a été prise ce soir. Parmi les personnes contaminées figurent de nombreux personnels de la fonction publique. Cette situation toute particulière nécessite la mobilisation des agent-es. Les personnels hospitaliers en première ligne doivent recevoir tout le soutien des autorités. Dans l'ensemble des services publics, les personnels feront le nécessaire pour informer les usagers et être en soutien des élèves à distance. Cela ne saurait se traduire par des injonctions impraticables : par exemple la nécessaire continuité du service public ne pourra être mise en œuvre qu'avec les outils dont les agent-es disposent. Les employeurs publics doivent également assurer la sécurité des agent-es en mettant à leur dispositions les protections nécessaires à l'exécution de leurs missions (gel H.A, gants, masques....).   Un agent doit toujours se trouver dans une position statutaire et réglementaire. Si l’Administration lui demande de rester chez lui, il doit être destinataire d’une décision individuelle notifiée par l’Administration : un écrit nominatif qui précise la date de début et de fin de période où il ne doit plus se rendre
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Consultation des enseignants : un ministère à l’écoute ?!

2020-03-10T14:55:11+01:0010 mars 2020|Catégories : Concertations|

Parcours professionnel, missions, formation continue, bien-être au travail, égalité professionnelle : « Tous les professeurs pourront dire ce qu’ils attendent » de l’évolution de leur métier, assurait le ministre de l’Éducation nationale en lançant sa « grande consultation inédite et exhaustive ». Le ministre nous demande notre avis aujourd’hui sur des sujets qu’il a traités par ailleurs sans prendre en compte les expressions des organisations syndicales et les demandes de la profession. ue peut-il ressortir d’une consultation dont la valeur scientifique est largement mise en cause. Petite analyse de cette pseudo-consultation. Pourquoi cette consultation ? Pour ouvrir un vrai débat, honnête et plus que nécessaire, sur les conditions de travail ? Ou bien pour légitimer le projet politique de Jean-Michel Blanquer et sa vision du professeur du 21e siècle ? Le Ministre ne fait pas mystère de son projet pour l’école. Et un certain nombre de déclarations et même de décisions de ces derniers mois ne laissent pas de place au doute. Si le Ministre emploie moins le mot de contreparties, il conditionne une (pseudo) revalorisation à de nouvelles missions synonymes d’alourdissement des tâches (formation pendant les vacances, remplacement de courte durée payés en heures supplémentaires…). La preuve en acte avec la question 31 par laquelle le ministère tente de valider sa volonté d’imposer des formations pendant les vacances scolaires contre l’avis unanime des organisations syndicales. Les nombreuses déclarations ces dernières semaines sur la rémunération au mérite laissent à penser que certaines réponses (les questions sur la rémunération, mais aussi sur la reconnaissance du métier) pourraient être
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Mercredi 18 mars, dans l’action pour la revalorisation, les conditions de travail, le retrait de la réforme des retraites et d’autres réformes éducatives.

2020-03-11T11:30:03+01:009 mars 2020|Catégories : Appels & Pétitions|

Tandis que le ministre de l’Éducation continue d'expliquer que tout va bien et lance une consultation des enseignants, la rentrée se prépare dans les plus mauvaises conditions. Dans le premier degré, les moyens prévus pour la prochaine rentrée ne permettront aucune amélioration des conditions de travail. La dotation de 440 créations de postes pour la rentrée 2020 sera largement insuffisante pour répondre aux annonces ministérielles (dédoublement des GS en EP, limitation à 24 élèves de la GS en CE1) et aux besoins de l’école. Elle préfigure une carte scolaire catastrophique dans les départements car elle ne répond pas à l'exigence des moyens indispensables pour combattre les inégalités scolaires. Comment également financer les indispensables mesures d’amélioration des décharges liées à la direction d’école ? Comment reconstituer les réseaux d’aide aux élèves les plus en difficulté ? Comment assurer le remplacement des personnels en congé maladie et le départ en formation continue ? Aucune réponse qui donne corps à cette « priorité au primaire » qui n’en a décidément que le nom. Dans le second degré ce sont près de 800 postes qui sont supprimés alors que 30000  élèves nouveaux doivent être accueillis , les réformes dans les lycées généraux et technologiques comme dans l'enseignement professionnel alourdissent la charge de travail des personnels, pénalisent les élèves les plus fragiles ,posent de nombreuses problèmes de métier. Les postes administratifs sont en diminution constante. Les personnels de santé scolaire, les assistant-es social-es, les PSY EN dénoncent les mesures de décentralisation des personnels qui
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CTMEN du 5 février 2020 : Déclaration liminaire de la FSU

2020-05-10T18:44:23+02:006 mars 2020|Catégories : Campagnes|Mots-clés : |

Le projet de réforme des retraites porté par le gouvernement est refusé par la grande majorité des salariés qui en exigent le retrait. Après plus deux mois de conflit social, plus de 60 % de l’opinion publique est toujours favorable au retrait de la réforme. Et ceci malgré toutes les tentatives de diversion dans la communication gouvernementale. En effet, après avoir choisi une stratégie d’ignorance délibérée de l’expression des manifestations et des grèves - très suivies dans notre ministère -, après avoir en vain tenté de jouer l’option du désespoir et la carte du pourrissement de la mobilisation, le gouvernement s’entête en produisant une étude d’impact largement biaisée par le choix des cas-types et des projections d’évolution des rémunérations, par exemple. Celles-ci sont d’ailleurs immédiatement contredites par l’annonce d’une poursuite jusqu’en 2022 du gel de la valeur du point d’indice. Le Conseil d’État a rendu un avis des plus sévères, décrivant avec méthode l’imprécision et le flou juridiques qui entourent presque toutes les dispositions du projet de loi ou les conditions de leur application. À ce jour, la concrétisation législative des engagements ministériels de revalorisations salariales pour les enseignants est considérée comme inconstitutionnelle. Engagements, qui devaient contenir les effets les plus spectaculaires de pertes sèches de pension que la construction même d’un système prétendûment universel de retraites envisage et qui par ailleurs ne reconnaissent pas la réalité de leur investissement au service de la réussite de tous les élèves. En liant la question salariale à celle de l’instauration d’un régime de retraite
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Guillaume Duval – journaliste, éditorialiste et écrivain

2020-03-16T16:12:45+01:0017 février 2020|Catégories : Non classé|

Que nous dit cette crise de l’état de la société? Emmanuel Macron se trompe du tout au tout sur ce qu’attend la société française de ses dirigeants. Un nouveau de Gaulle ou un nouveau Napoléon? Pas du tout. La France est un des pays développés où le niveau d’éducation s’est le plus élevé ces dernières décennies. Les Français sont désormais en attente avant tout de participation, d’écoute. Ils ne veulent plus du top-down ni d’une attitude jupitérienne. On pouvait croire qu’après le mouvement des Gilets jaunes Emmanuel Macron l’aurait enfin compris. Et bien non, il recommence, sur la question des retraites, à agir de manière autoritaire, non transparente et anxiogène. Alors que rien ne justifiait qu’une réforme chamboule tout. Quelles conséquences du projet en termes d’égalité? Le discours sur l’égalité et l’équité du projet de réforme est largement du pipeau notamment parce qu’il ne prend pas du tout en compte les écarts d’espérance de vie. Un cadre touchera ses droits 6 ans de plus qu’un ouvrier. Sur le plan de l’équité, entre ceux sortis d’une grande école à 22 ans et ceux qui auront galéré au début de leur carrière, les retraites seront très différentes même s’ils ont les mêmes revenus en fin de carrière. C’est absurde. En cas d’accident professionnel, le prix à payer sera très fort, en particulier pour les chômeurs, qui cotiseront désormais sur la base de leur indemnité et plus de leur dernier salaire. Le système par points c’est une forme de vraie fausse capitalisation
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Anne Armand, inspectrice générale honoraire

2020-03-16T16:13:03+01:0013 février 2020|Catégories : Non classé|

Quel regard global portez-vous sur la politique d’éducation prioritaire menée depuis 2014? La concertation de 2012 a mis en évidence la nécessité d’une redéfinition du métier autour du projet de réseau, du travail collectif, du lire-écrire-s’exprimer et de l’explicitation au service des apprentissages, du travail avec les familles. La publication du référentiel en 2014 et des mesures fortes comme scolarisation des moins de trois ans, maîtres+, ambitieux plan de formation, collaboration avec les chercheurs, et nouveau pilotage académique, ont créé une réelle dynamique, dont l’enquête actuellement menée par l’OZP montre les solides avancées. Malheureusement les formateurs ont très vite été réquisitionnés par la réforme du collège, les chercheurs n’ont pas été assez nombreux, et la politique menée à partir de 2017a entraîné un changement de cap, en particulier concernant les enjeux de la continuité école-collège, sans qu’on ait évalué les acquis de la refondation. Occasion manquée de tirer des enseignements et de conforter les équipes dans leur engagement. Que pensez-vous de la proposition du rapport Azéma-Mathiot confiant aux recteurs la gestion de la priorisation de la politique éducative entre l’éducation prioritaire et la ruralité? Les recteurs seront confrontés aux pressions des élus locaux,et devront arbitrer pour répartir des moyens entre des territoires qui ont tous des besoins, sans être pour autant comparables : les questions de climat scolaire, d’exclusion sociale, ne se posent pas dans les mêmes termes et n’ont pas les mêmes conséquences sur les résultats des élèves. Qui dit répartition dit saupoudrage. Cela revient à demander aux
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Un rejet universel

2020-02-25T10:30:47+01:0013 février 2020|Catégories : Communiqués|

Largement majoritaire et de plus en plus confortée, l’intersyndicale CFE-CGC ; CGT ; FO ; F.S.U ; SOLIDAIRES ; FIDL ; MNL ; UNEF ; UNL renouvelle son exigence du retrait du projet de réforme des retraites. Le rejet de ce texte est grandissant : Les différentes institutions et caisses de sécurité sociale ont désormais rendu leur avis sur le projet de loi retraites. Et ils sont affligeants pour le gouvernement, aucune des consultations, de la CNAV à la CNNCEFP, n’est de nature à encourager à poursuivre le projet présenté. Bien au contraire. Le Conseil d’État a rendu un avis d’une violence extraordinaire, pointant des insuffisances, des lacunes et des problèmes institutionnels. Du jamais vu ! Le Conseil Supérieur de la Fonction Militaire a lui aussi rendu un avis négatif. Un fait rare ! 100 % des barreaux et pratiquement toutes les professions libérales sont opposées et toujours en lutte contre le projet. Les salariés du public et du privé prennent des initiatives multiples pour manifester leur opposition à ce projet. Le monde de l’éducation donne un bel exemple d’unité intergénérationnelle puisque la mobilisation concerne tout autant personnels, lycéens et étudiants. Les experts de tout bord et de toute tendance se rejoignent tous dans l’analyse très critique du projet, confirmant les 3 rapports à charge de l’Institut de la Protection Sociale, y compris les inspirateurs de l’idée de régime universel qui viennent de dénoncer les impasses et les incertitudes du texte annexé au projet de loi actuellement examiné à l’Assemblée Nationale. L’opinion publique, dont le fort soutien aux opposants n’a
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Compte rendu audience Premier Ministre

2020-02-10T11:26:12+01:0010 février 2020|Catégories : La concertation|

La FSU a été reçue par le Premier Ministre concernant le financement du système de retraites. Injustement exclue de la « conférence des financeurs », la FSU tenait en effet à rappeler ses propositions de court et de long terme pour financer une amélioration des droits, son opposition à toute mesure visant à reculer les âges de départ ou à augmenter encore les durées d’assurance, et bien sûr rappeler sa demande de retrait de la réforme en cours. Nous avons bien entendu rappelé nos revendications générales de retrait de la réforme et d’améliorations du système actuel. Nous avons vivement protesté contre l’exclusion de la FSU et Solidaires des discussions en cours sur le financement et de l’exclusion prévue de la FSU et de solidaires de la gouvernance du futur système de retraite, dans la mesure où aujourd’hui il n’existe que deux représentativités : celle du privé d’une part et celle du public d’autre part, la FSU est très clairement représentative dans le secteur public (3 sièges au conseil commun de la fonction publique). Si une représentativité transversale public privé doit être instituée, cela doit être l’objet d’une réflexion approfondie sur les modalités de sa mise en place, et non pas comme ce qui est fait aujourd’hui au détour d’un projet de loi sur les retraites. Le Premier Ministre n’a pas répondu à ces demandes, il nous a seulement assuré que nous serions, d’une manière ou d’une autre, associés aux débats de la conférence de financement (mêmes documents, mêmes possibilités d’exposer nos propositions
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