Annonce 19 mars, Supérieur, RASED, hôpital, cote Sarko, automobile, taxe professionnelle, manif CRA, planning familial

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Les huit organisations syndicales réunies lundi soir 9 février à Paris ont décidé d’appeler les salariés à une nouvelle journée d’action nationale, le jeudi 19 mars, afin de réclamer du gouvernement des mesures sociales contre la crise. Ils entendent ainsi maintenir la pression sur le gouvernement dans l’optique de la rencontre programmée le 18 février avec Nicolas Sarkozy.

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Les huit confédérations syndicales ont décidé lundi d’organiser une nouvelle journée d’action commune le 19 mars. Elles n’ont visiblement pas été convaincues par les annonces de Nicolas Sarkozy jeudi dernier dans Face à la crise et réclament au gouvernement des mesures sociales pour les Français. C’est aussi un moyen de peser avant le « sommet social » prévu le 18 février à l’Elysée.

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PARIS (Reuters) – Affichant leur unité, huit confédérations syndicales françaises ont décidé lundi d’organiser une nouvelle journée d’action commune le 19 mars afin de demander des mesures sociales face à la crise. La journée se situera après les congés scolaires, afin de permettre une mobilisation maximale, ont-ils dit. Les organisations syndicales entendent ainsi selon leurs termes « maintenir la pression » sur le gouvernement tout en laissant une porte ouverte à la discussion.

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Entre tanto tendrá lugar una « cumbre social », el 18 de febrero próximo, anunciada por el presidente francés, Nicolás Sarkozy, la semana pasada, y que las Confederaciones consideran « un elemento importante », informó su portavoz, Gérard Aschieri.

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Nouvelle mobilisation le 19 mars : les principales déclarations syndicales Gérard Aschieri (FSU): « Ca aurait été logique » d’être reçus à huit par le président de la République le 18 février, « mais c’est une question de situation réglementaire. C’est peut-être un peu petit bras, à une situation exceptionnelle, il aurait mieux valu une réponse exceptionnelle ».

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Réunies hier soir en intersyndicale, les huit organisations de salariés ont annoncé une nouvelle mobilisation interprofessionnelle pour le 19 mars. Elles veulent rester fermes face à l’exécutif et au patronat, avant le sommet du 18 février. De son côté, le gouvernement s’attaque à la préparation du sommet social en entamant une série de réunions bilatérales avec les partenaires sociaux. Parmi les huit organisations de l’intersyndicale, seuls les cinq syndicats représentatifs seront reçus d’ici à vendredi par Christine Lagarde (Economie), Brice Hortefeux (Travail), Laurent Wauquiez (Emploi), Eric Woerth (Budget), André Santini (Fonction publique) et Martin Hirsch (Jeunesse, Pauvreté). La CFDT puis la CFTC ouvrent le bal cet après-midi.

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Les organisations patronales préparent elles aussi intensément le sommet social. Les leaders de la CGPME, Jean-François Roubaud, et du Medef, Laurence Parisot, seront reçus demain rue de Grenelle. Celui de l’UPA, Pierre Martin, le sera en début de semaine prochaine. Le choix de Nicolas Sarkozy consistant à parler en priorité du chômage – le chômage partiel, celui des jeunes et les sorties de CDD – ne pose pas de problème particulier aux trois organisations.  » Nous sommes tous d’accord pour dire que la priorité c’est l’emploi « , estime Laurence Parisot. Quitte à aller plus loin que les récents accords paritaires sur le marché du travail (janvier 2008) et l’assurance-chômage (décembre 2008)

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Crise oblige, les négociations salariales pour 2009 s’avèrent tendues dans les entreprises. Les DRH proposent des augmentations générales limitées, alors que les rémunérations variables sont affectées par la conjoncture.

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UNIVERSITES – Valérie Pécresse a rectifié ce lundi soir… Cafouillage ministériel autour de l’entrée en vigueur du décret sur le statut des enseignants-chercheurs. Elle est bien toujours prévue pour le 1er septembre 2009, et non pour « la rentrée 2010 » comme la ministre Valérie Pécresse l’a dit par erreur sur France Info, a-t-elle rectifié auprès de l’AFP. La ministre avait déclaré: « Normalement, le décret doit entrer en vigueur pour la rentrée 2010. Cela nous laisse un petit peu de temps pour approfondir la concertation, le retravailler. » Les médias, 20minutes.fr compris, en ont aussitôt conclu que la réforme était repoussée d’un an. Sa langue a fourché, a-t-elle expliqué ensuite.

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Le doute aura subsisté quelques instants. Lundi 9 février en fin d’après-midi, la ministre de l’enseignement supérieur Valérie Pécresse indique sur France Info que le très controversé décret sur les enseignants-chercheurs entrera en vigueur « à la rentrée 2010 ». La déclaration est immédiatement interprétée comme un recul du gouvernement, puisque l’entrée en vigueur de ce décret était prévue pour septembre 2009. Quelques minutes plus tard, Mme Pécresse adresse un rectificatif à l’AFP : l’évocation de 2010 était une erreur de sa part et le décret entrera bien en vigueur en 2009, comme prévu. Dans le dur conflit qui l’oppose au monde universitaire, ce lapsus devrait rajouter un peu plus de tension.

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Après Axel Khan qui s’était désolidarisé de la réforme n’en déplaise à Nicolas Sarkozy qui arguait de son soutien, l’alliance entre ministère et présidents d’université se fissure encore un peu plus : neuf universités ont annoncé qu’elles réclamaient le retrait des projets Darcos et Pécresse,  » condition nécessaire à l’ouverture de véritables négociations et à la relance du nécessaire processus de réforme auquel doit être associé l’ensemble de la communauté universitaire « .

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L’évaluation des enseignants-chercheurs, ou l’un des principaux motifs de la crise qui agite actuellement les universités. En cause, notamment, la méthode employée, qui devrait encore être renforcée par le projet de décret actuellement contesté. Philosophe et directrice de recherche au CNRS, Barbara Cassin dénonce sur Rue89 le « scandale » de cette méthode de notation qui, à l’instar de Google, fait que « la qualité devient une propriété émergente de la quantité ». Au coeur du problème, le « facteur H ». Cet indice développé en 2005 par le physicien américain Jorge Hirsch, visant à mesurer l’impact d’un chercheur en fonction de l’importance des citations de ses publications. D’où deux écueils majeurs, selon Barbara Cassin La seule lueur d’espoir, pour la directrice de recherche au CNRS, provient de « très bonnes revues anglosaxonnes, comme Nature », qui « ont demandé de sortir du pool des revues qui servaient à l’évaluation », « considérant qu’il est absolument stupide d’évaluer de cette manière-là ».

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La fronde contre le projet de Valérie Pécresse s’étend. L’Union nationale lycéenne (UNL, première organisation lycéenne) a appelé les lycéens à rejoindre les étudiants et les enseignants-chercheurs dans les cortèges mardi. Une large intersyndicale a appelé à manifester à Paris et dans certaines villes de province (*) pour protester contre la réforme du statut des universitaires qui doit entrer en vigueur le 1er septembre 2009.

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Valérie Pécresse voulait croire hier à la possibilité d’une « voie de passage par le dialogue ». Alors que le mouvement de protestation des enseignants-chercheurs, qui appellent aujourd’hui à une journée de mobilisation avec manifestations à Paris et en province, s’amplifie, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a annoncé hier que le décret sur leur statut, au cœur de la contestation, serait « retravaillé » dans le cadre d’une concertation « prolongée ». Une (petite) concession qui prouve la volonté de l’Elysée de calmer la colère sur le front universitaire avant qu’il ne soit trop tard. Au moment où la crise en Guadeloupe perdure (lire page 9) et qu’elle pourrait s’installer en Martinique, le gouvernement craint que le mouvement au sein de l’Université change aujourd’hui de nature si les étudiants rejoignent leurs enseignants dans les cortèges. Le cauchemar de Sarkozy : se retrouver avec des amphis paralysés avant le grand rendez-vous du 18 février qu’il a fixé aux partenaires sociaux. Lesquels ont annoncé hier une nouvelle journée de mobilisation le 19 mars (lire page 12).

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Non! nous ne sommes pas une bande de vieux cons réactionnaires ni de gauchistes gâteux ni de professeurs fainéants et nuls Lundi 9 février 2009. Très en colère, le président de la Sorbonne (Paris-IV) s’est lancé dans une charge virulente contre la réforme portée par Valérie Pécresse. Les présidents d’université présents dans l’amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne ont demandé le retrait du texte. Ils n’ont pas mâché leurs mots face à leur auditoire, des universitaires et des étudiants.

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Initialement, la mobilisation devait prendre la forme d’une manifestation nationale à Paris mais, pour des raisons de transport, des défilés auront aussi lieu à Aix, Avignon, Bordeaux, Marseille, Montpellier, Toulouse ou Strasbourg. Cette journée se tient à l’appel de la coordination nationale des universités et d’une large intersyndicale (FSU, CFDT, FO, Solidaires, Sauvons la recherche, Sauvons l’université, l’Unef). L’Unsa-Education, AutonomeSup, les étudiants de la Fage et les lycéens de l’UNL la soutiennent aussi.

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Devant la forte mobilisation qui s’annonce aujourd’hui dans les universités, Valérie Pécresse multiplie les gestes d’apaisement et… les cafouillages. La ministre de l’Enseignement supérieur a annoncé, hier soir, sur France Info, que le décret sur le statut des enseignants-chercheurs, à l’origine de ce mouvement de protestation, allait être  » retravaillé  » et entrerait en vigueur  » à la rentrée 2010  » au lieu du 1er septembre 2009. Avant de se rétracter quelques minutes plus tard auprès de l’AFP, en indiquant qu’il serait bien mis en oeuvre à la prochaine rentrée. Un vrai lapsus qui risque de faire gonfler le nombre de manifestants aujourd’hui.

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A Rouen, les enseignants-chercheurs font fac en ville. En grève depuis le début de la semaine dernière, les enseignants-chercheurs de Rouen ne veulent surtout pas que leur mouvement reste confiné à des réunions d’amphis ou des débats en laboratoire. « Il faut absolument montrer que nous chercheurs, nous ne travaillons pas que pour nous », explique Pierre-Emmanuel Berche, physicien. A Aix-en-Provence, l’Institut d’études politiques voit rouge. « Prof en saignant ». La banderole qui barre le fronton de l’Institut de sciences politiques (IEP) d’Aix-en-Provence donne le ton. Pour la première fois depuis sa création en 1956, l’IEP fait une grève totale des cours et des notes. André Cartapanis, professeur d’économie et de finances internationales n’a rien d’un gauchiste.

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Une nuit à l’école en faveur des élèves en difficulté Enseignants, parents et élus se réunissent ce soir dans des écoles pour défendre les réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté, visés par une réforme ministérielle.

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ASSEMBLEE NATIONALE – Le projet de loi qui s’y attaque arrive devant les députés mardi… Le grand chantier de la réforme du système de santé français est lancé. L’examen du projet de loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST) débute ce mardi à l’Assemblée nationale. Si la réforme est jugée nécessaire, certains points inquiètent les professionnels. 20minutes.fr passe en revue les principales mesures et les craintes qu’elles suscitent.

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Les députés vont examiner à partir de mardi 10 février le projet « Hôpital, patient, territoire, santé » (HPTS) qui vise à réformer le système de santé français. L’accès aux soins, les déserts médicaux, la liberté d’installation des médecins, l’hôpital et la prévention sont au cœur de ce texte préparé à partir notamment d’un rapport de Gérard Larcher, aujourd’hui président du Sénat. L’opposition dénonce le côté « fourre-tout » du projet et une « privatisation de l’hôpital public ».

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Le projet de loi hôpital, patients, santé et territoires devrait être examiné par l’Assemblée nationale à partir d’aujourd’hui. Le gouvernement semble faire machine arrière sur la taxation des médecins refusant d’exercer dans des zones sous-dotées en praticiens.

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En débat au Parlement à partir d’aujourd’hui, le projet de loi  » hôpital, patients, santé, territoire  » agrège tous les professionnels de santé, opposés à la privatisation du système de santé. Décryptage complet du projet de loi dans l’Humanité de mardi.

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En 2009, cette nouvelle tendance à la baisse a de quoi inquiéter l’Elysée. En effet, à y regarder de plus près, l’ensemble des sondages réalisés depuis jeudi dernier prouve que le président de la République est majoritairement jugé incapable d’apporter des réponses satisfaisantes à la crise actuelle. Face à la grogne ambiante, le chef de l’Etat ne semble pourtant pas tout à fait résigné à faire le dos rond. Dans des propos rapportés par le JDD, Nicolas Sarkozy s’en est ainsi pris ce week-end au Parisien, accusé de « malhonnêteté ». 52% des Français pas convaincus par Sarkozy, avait choisi de titrer le quotidien francilien, samedi 7 février. Un chiffre livré par le CSA, qui prenait en compte l’avis de personnes qui n’ont pas forcément suivi le programme et qui, en outre, en cachait un autre, plus flatteur pour l’Elysée. En effet, toujours selon le CSA, parmi les sondés qui ont suivi tout ou partie de l’émission Face à la crise, 55% se sont en effet déclarées convaincus. « Il s’agissait pour nous de vérifier l’impact d’une intervention présidentielle », s’est expliqué dimanche Dominique de Montvalon, directeur adjoint de la rédaction du Parisien, face à ce qui ressemble à une nouvelle polémique entre le pouvoir et les médias. « Si ce n’est pas de la malhonnêteté, rien n’est malhonnête », a pour sa part fulminé le chef de l’Etat, rejoint dans son courroux par l’incontournable Frédéric Lefebvre. « C’est comme si on demandait aux Français n’ayant pas vu un film de donner leur avis! », a attaqué dimanche, dans un communiqué, le porte-parole de l’UMP. Le député des Hauts-de-Seine a en outre indiqué ne pas vouloir en rester là et a annoncé, au nom de son parti, la saisine de la commission des sondages. « Pour qu’au moins dans le futur les Français soient pleinement informés », s’est-il justifié. Pour détourner l’attention aussi.

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L’Elysée va octroyer un prêt de 6 milliards d’euros aux deux constructeurs, plus 500 millions pour Renault Trucks, et permettre un nouvel accès au crédit à leurs filiales financières à hauteur de 1 milliard. Mais le renoncement aux licenciements en France durera nettement moins longtemps que le prêt. Des milliards comme s’il en pleuvait : réunissant hier à l’Elysée les grands patrons du secteur automobile, Nicolas Sarkozy leur a confirmé l’octroi d’un  » prêt participatif  » de 6 milliards d’euros sur cinq ans, pour remédier à la crise du crédit, à répartir équitablement entre Renault et PSA. Dispositif complété par un autre prêt d’environ 500 millions pour Renault Trucks, filiale du suédois Volvo qui exploite des usines en France. Or, pour l’instant, hormis l’Hexagone, où ils suppriment des emplois, les deux constructeurs français sont sur un mode expansionniste à l’étranger. Côté Renault, l’un des gros projets est incarné par la nouvelle usine de Tanger, un investissement de 350 millions d’euros dans sa phase initiale, et 600 millions à terme. Y renoncer provoquerait sans nul doute des tensions entre la France et le roi du Maroc, Mohammed VI. Carlos Ghosn considère qu’il ne s’agit pas de délocalisation, puisque la gamme Logan n’aurait jamais été produite en France. Cependant, Renault admet que le projet pourrait prendre jusqu’à un an de retard. Chez PSA, la nouvelle C3 Picasso commence à être construite dans l’usine slovaque du groupe (Trnava), à côté des Peugeot 207. Et les travaux de la future usine de Kaluga, en Russie, ont débuté, mais celle-ci est officiellement destinée au marché local, ce qui répond mieux que le précédent exemple à la  » doctrine Sarkozy « .

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Dans un entretien au « Monde », le PDG de PSA Peugeot Citroën, Christian Streiff qualifie d' »équilibré » le plan d’aide à l’industrie automobile de 6,5 milliards d’euros, présenté, lundi 9 février, par Nicolas Sarkozy.

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Quant aux aides financières publiques que vient de recevoir PSA, à parité avec Renault, leur efficacité à terme est mise en doute par les analystes :  » Bien qu’un tel soutien en liquidités soit positif à court terme, nous ne pensons pas que de telles interventions gouvernementales vont aider à résoudre les problèmes structurels auxquels est confronté le secteur automobile « , estime Standard & Poor’s.

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L’Association des maires ruraux de France a demandé, hier, à participer à la concertation qui doit être mise en place pour remplacer la taxe professionnelle, dont Nicolas Sarkozy a annoncé la suppression en 2010 la semaine dernière. Jugeant l’annonce  » brutale « , les maires ruraux souhaitent qu’elle soit  » le point de départ d’une réflexion d’ensemble sur l’avenir de la fiscalité locale et de la mise en place d’une péréquation financière enfin réelle et sincère  »

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Une centaine de ballons noirs, portant en blanc le nom de sans-papiers, ont été lâchés dans le ciel du Canet (14e). Samedi, 800 personnes selon les organisateurs, 200 selon la police, ont manifesté devant le centre de rétention de Marseille pour réclamer la régularisation des sans-papiers. Cette action, lancée par le Réseau éducation sans frontières (RESF), la Cimade et la Ligue des droits de l’homme, s’inscrivait dans le cadre d’une journée nationale  » contre l’enfermement des étrangers « .

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Centre de rétention. Le préfet interdit la presse lors de la visite du président du conseil régional hier au Canet. Exerçant son droit de parlementaire d’accéder de jour comme de nuit à tout lieu privatif de libertés, le président socialiste du conseil régional Paca, député de la 16e circonscription des Bouches-du-Rhône, Michel Vauzelle, a visité, hier après-midi, les locaux du centre de rétention administratif (CRA) du Canet inauguré en septembre 2006. 1 600 étrangers en situation irrégulière, expulsés ou sous le coup d’un arrêté préfectoral de reconduite à la frontière y ont transité l’an passé. Une trentaine de tentatives de suicide y ont été dénombrées selon des médecins, 9 seulement selon les autorités. En décembre 2007, un jeune maçon kurde y avait trouvé la mort.  » Un univers carcéral  »

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La direction du Mouvement français pour le planning familial (MFPF) n’est pas convaincue par les déclarations de Brice Hortefeux. Le ministre du travail et de la famille s’est engagé, mercredi 4 février, à « maintenir l’effort budgétaire » dédié au Planning familial. Depuis plusieurs semaines, le mouvement dénonce la diminution des aides de l’Etat, prévues dans le budget 2009. « Un tiers de nos 70 associations départementales risquent de disparaître », estimait Claire Ricciardi, présidente du Planning marseillais, lors d’une manifestation nationale le 27 janvier.

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Une brique de jus d’orange Tropicana de deux litres entraîne l’équivalent de l’émission de 1,7 kilogramme de CO2. 1 litre d’essence brûlé en voiture : 2,3 Kg