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Salaires, postes, conditions de travail, réformes : éducation en danger – Grève unitaire le 1er février

2025-10-24T23:54:41+02:0020 décembre 2023|Catégories : Appels & Pétitions, Communiqués, Education / recherche|Mots-clés : |

Pour nos salaires, contre les suppressions de postes, contre la mise en place des réformes à marche forcée, nos organisations syndicales FSU, FNEC FP - FO, CGT Educ’Action, SUD éducation appellent à une action de grèves et des manifestations le 1er février 2024. La crise de recrutement dans l’éducation se pérennise, et toutes les études montrent que la faiblesse des salaires est le premier obstacle à l’attractivité des métiers de l’éducation. Nos organisations exigent de véritables augmentations salariales en particulier par une augmentation significative du point d’indice pour tous les personnels dans ce contexte de forte inflation, ainsi que l’abandon du pacte. Au lieu de poursuivre la dynamique à peine enclenchée avec les mesures mises en œuvre en 2023, le ministre refuse désormais de discuter de nouvelles mesures générales pourtant nécessaires et envisage même une nouvelle transformation des carrières marquée par un poids croissant des hiérarchies. Enfin, de nombreux signes confirment l’échec du Pacte. Les personnels ont bien compris qu’il ne s’agissait pas d’une revalorisation. La mise en œuvre du Pacte a également profondément divisé les équipes, d’autant plus qu’il a donné lieu à des pressions ou interprétations contraires aux textes réglementaires dans le seul but de faire du chiffre et de sauver le Pacte. Par ailleurs, le ministre s’entête à refuser les mesures salariales d’urgence qui permettraient de sortir les AESH et les AED de la précarité. Il est encore temps de renoncer aux suppressions de postes pour permettre notamment d’alléger les effectifs par classe mais aussi d’assurer
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Communiqué du Collectif Education contre les LGBTIphobies en milieu scolaire et universitaire

2025-07-23T00:11:29+02:0029 septembre 2023|Catégories : Communiqués, Droits et libertés, LGBTQIA+|

Communiqué de Presse - 29 septembre 2023 Le ministère veut-il vraiment lutter contre le harcèlement et  les violences discriminatoires à l'école ?  Les  dernières annonces ministérielles montrent clairement une prise en charge peu volontariste des LGBTIphobies à l'école et une méconnaissance des réalités alors qu'un nouveau drame marque cette rentrée scolaire. Combien faudra-t-il de suicides d'adolescents et d'adolescentes pour que les ministères nous écoutent? Le Collectif éducation contre les LGBTIphobies en milieu scolaire et universitaire demande à rencontrer Gabriel Attal et lance une pétition afin de rappeler les engagements des ministères. Un vision passéiste de l'école qui met de côté la lutte contre les discriminations Renforcement de l'autorité, centrage sur les "fondamentaux", vision  rétrograde du système éducatif … cette rentrée est particulièrement bien placée pour draguer les électorats du bloc autoritaire sans répondre aux urgences qui se dressent devant nous. Notre collectif est très inquiet de la montée de mouvements réactionnaires et extrémistes religieux. Qu'un programme scolaire sur l'éducation à la sexualité en Belgique entraîne des réactions de défiance jusqu'en France, que des mouvements s'organisent pour les élections de parents d'élèves afin de contrôler les contenus scolaires, que des projets pédagogiques sont encore et toujours mis en danger par des groupes réactionnaires, tout cela n'augure rien de bon dans la lutte contre les discriminations. Le gouvernement doit prendre la mesure du glissement idéologique que nous vivons et du danger qu'il fait peser sur les enfants. Il doit agir en urgence pour que la lutte contre le racisme, l'antisémitisme, le
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Dispositif signalement et traitement des violences sexistes et sexuelles au ministère de l’Éducation Nationale : le texte est enfin paru !

2023-09-04T12:29:49+02:004 septembre 2023|Catégories : Egalité femmes-hommes|

Le texte réglementaire relatif au dispositif de recueil et de traitement des signalements de violences sexiste et sexuelle est enfin publié au journal officiel ! Il aura fallu plus de 3 ans de détermination sans faille des équipes militantes de la FSU qui, malgré les nombreux dossiers et actions syndicales menés, n'ont jamais lâché et porté haut et fort l'urgence de mettre un oeuvre concrètement ce dispositif. Ce texte oblige maintenant les rectorats qui piétinaient à installer une cellule d'écoute, de traitement et d'accompagnement dédié pouvant être saisie par les agentes victimes et tous les agent.es témoins quelque soit leur statut. Parce que les violences conjugales dépassent le cadre privé, qu'elles percutent largement la vie professionnelle des victimes et au regard du nombre alarmant de féminicides, dont certains concernaient des personnels de l Education nationale, les équipes de la FSU ont arraché aussi l'intégration des violences intra-familiales dans ce dispositif. Ce texte constitue en soi une victoire syndicale mais le combat n'est pas terminé. La FSU mettra toute sa combativité au service de l'effectivité et de l'opérationnalité de ce dispositif afin que que chaque agente victime active ses droits. La FSU continuera d'exiger du ministère un devoir d’exemplarité en la matière et surtout qu'il finance et déploie les mesures inhérentes à ce dispositif en particulier une protection renforcée, des enquête administratives rigoureuses, rapides et impartiales et l'application des droits sociaux qui en découlent. Arrêté du 31 juillet 2023 portant application dans les services centraux relevant des ministres chargés de l'éducation
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CSAMEN du 13 juin – Voeu intersyndical des organisations syndicales FSU, UNSA, Fnec-FP F0, Sgen-CFDT, CGT éduc’action, SNALC, SUD éducation

2023-06-13T11:29:08+02:0013 juin 2023|Catégories : AESH, Education / recherche, Expression de la FSU pour l'Education|

Les récentes mobilisations ont mis en lumière le fort mécontentement des AED et des AESH au sujet de leurs salaires et de leurs conditions de travail. Ces personnels sont indispensables au bon fonctionnement des écoles et des établissements scolaires, or les AED et les AESH subissent les bas salaires que leur impose l’Éducation nationale : comment vivre avec des salaires moyens de 800 à 900 euros par mois dans un contexte de forte inflation ? Pourtant aucune revalorisation n’est prévue, contrairement aux annonces.

Déclaration de l’intersyndicale Education sur le SNU

2023-06-12T09:40:45+02:0012 juin 2023|Catégories : Education / recherche, Expression de la FSU pour l'Education|

Depuis son premier quinquennat, Emmanuel Macron a fait du SNU un étendard de sa politique pour la jeunesse. En dépit d’une contestation forte dans la jeunesse et chez les personnels et une partie non négligeable des parents, de faits graves lors de plusieurs séjours SNU montrant la fragilité et le caractère bancal de ce dispositif, le président de la République s’entête !        Dernière piste en date : une généralisation progressive qui passerait, dès l’année prochaine, par des séjours SNU de 12 jours sur temps scolaire, dans le cadre de « classes engagement ». Ainsi, le ministre de l’Éducation nationale et la secrétaire d’État à la Jeunesse et aux Armées essayent de sauver le SNU en le raccrochant au temps scolaire, à travers des projets d’établissements, en confiant de nouvelles missions aux personnels, y compris dans le cadre du « pacte enseignant ». Ils persistent à faire du SNU un élément de valorisation dans Parcoursup comme critère de sélection. C’est à nouveau une baisse du nombre d’heures consacrées aux apprentissages et la remise en cause du cadre national des programmes, et ce sans oublier les réformes du lycée qui pèsent sur les parcours scolaires et d’orientation des élèves. C’est également une remise en cause du rôle des personnels de l’Education nationale tout comme celui des personnels de Jeunesse et Sports, qui ne sont pas là pour participer à un simulacre de séjour militaire. Nos organisations dénoncent le coût d’un gadget présidentiel déconnecté de la réalité : plus de 2 milliards d’euros par an en cas de généralisation selon un
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L’intersyndicale de l’éducation vous appelle à défiler avec fierté

2023-05-31T08:56:14+02:0030 mai 2023|Catégories : Droits et libertés|

Depuis plus de 30 ans des marches des fiertés sont organisées un peu partout en France. Elles sont présentes maintenant sur tout le territoire national de mai à septembre. Cette année le mois des fiertés va se dérouler dans un contexte particulier : le dernier rapport de SOS homophobie fait état d’une augmentation d’environ 8% des violences à caractère LGBTIphobe, l’extrême droite redouble ses attaques contre des lieux communautaires, comme récemment à Lyon, Nantes et Tours ou contre des artistes LGBTI. Parallèlement, ses représentant·es à l’Assemblée, dans les médias et sur les réseaux sociaux ne perdent pas une occasion de remettre en question nos droits. Dans des établissements scolaires, souvent privés sous contrat, comme à Compiègne, à Paris, à Pau ou encore Walbourg, des projets de lutte contre les discriminations LGBTIphobes et d’éducation à la sexualité, sont censurés par des idéologies religieuses et réactionnaires créant des lieux d’éducation en marge du service public d’éducation. Les démonstrations festives de la diversité sont autant de résistances à ces actes et à ces idéologies violentes. Ce sont autant de moments de visibilité essentiels pour rappeler que nous sommes toutes et tous égaux et égales, pour permettre à tout·e jeune LGBTI de s’identifier à un groupe inclusif et de faire face à ces trop nombreuses attaques. Mais leur réussite nécessite un maximum de participant·es. Aussi notre intersyndicale de l’éducation invite tous et toutes les syndiqué·es qu’iels soient LGBTQI+, proches, ou citoyen·nes à participer aux marches des fiertés en masse partout dans le pays.  Le
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Appel de la FSU aux personnels de l’éducation

2023-05-25T10:38:40+02:0025 mai 2023|Catégories : Education / recherche, Expression de la FSU pour l'Education|

La FSU appelle à participer massivement aux actions du 6 juin contre la réforme des retraites et, en amont de cette date, à faire de la semaine du 30 mai une semaine d’initiatives dans l’éducation pour exiger une autre politique éducative. Il y a en effet urgence à agir pour mettre un coup d’arrêt aux politiques en cours qui dégradent le service public d’éducation et les droits sociaux de toutes et tous. La réforme des lycées professionnels est emblématique de cette régression, elle vise en effet clairement une transformation profonde des métiers, des LP et des formations sur le modèle de l’apprentissage. Les jeunes des lycées professionnels ne sont plus considéré·es comme des élèves en formation mais comme une main-d’œuvre immédiatement exploitable. Quant aux personnels, pour les remercier de leur engagement : de vastes plans de reconversion en perspective et un pacte les incitant à mettre en œuvre la réforme. Le manque d’ambition des politiques menées conduit, comme dans d’autres secteurs, à une crise de recrutement qui s’approfondit et contre laquelle la FSU porte des propositions. La problématique salariale est primordiale, l’ensemble des personnels subissent le gel de la valeur du point d’indice et l’absence de perspective de revalorisation. Pour les enseignant·es, CPE et PSY-EN, la revalorisation « socle » est insuffisante, même si le rapport de forces établi dans le mouvement retraites et l’action de ses syndicats ont permis d’obtenir des mesures qui n’étaient pas prévues dans le projet initial. Quant au Pacte, il n’est pas seulement une perspective d’alourdissement de la charge
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Declaration unitaire des organisations de l’éducation au groupe de travail sur le PACTE

2023-05-11T15:17:27+02:0011 mai 2023|Catégories : Education / recherche, Expression de la FSU pour l'Education, Rémunérations|

Nos organisations FSU, Unsa Education, FNEC-FP-FO, SGEN-CFDT, CGT éduc'action, SNALC et SUD éducation dénoncent une nouvelle fois la logique du Pacte. Le Pacte est un dispositif qui ne répond en rien aux attentes des collègues. Loin de contribuer à la revalorisation attendue par toutes et tous, il va conduire à un alourdissement de la charge de travail des personnels, alors qu’une enquête de la DEPP a fait la lumière sur la réalité du temps de travail des enseignantes et enseignants (la moitié travaille plus de 43h par semaine) et que des chiffres de l’observatoire du bien-être confirment les conditions de travail difficiles pour la profession : la moitié des personnels est en état d’épuisement avancé. Dans le contexte de négociation des nouveaux plans d'action Égalité professionnelle dans notre ministère, où la demande sociale est forte, le pacte porte le risque avéré d'aggraver les inégalités femmes/hommes. D'autre part, le pacte va considérablement dégrader le fonctionnement des écoles et des EPLE et fragiliser les collectifs de travail par une mise en concurrence des personnels. Nos organisations contestent le choix du déploiement des réformes à coup de pactes au risque de traitements inéquitables des élèves dans le service public d’éducation. Cette stratégie est démultipliée pour la voie professionnelle. Il s'agit d'un passage en force de la part du gouvernement, de la même manière que pour la réforme des retraites dont nous demandons toujours le retrait. Nos organisations refusent le Pacte et réclament dans l’immédiat le basculement de l’enveloppe du pacte dans celle prévue
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